Ma voisine est une chaudasse (2)
Datte: 17/08/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Master_of_Words, Source: Xstory
... bourses, je pris rapidement un certain plaisir. Je me laissais faire avant de sentir ses lèvres descendre le long de mon corps. J’ouvris mes yeux, vis ses seins pendants avant de sentir sa bouche s’emparer de mon membre. D’une main, elle caressait mes couilles, de l’autre elle me branlait la base de mon sexe. Sa bouche me suçait le gland, le libérant parfois de son étreinte pour venir y faire jouer la pointe de sa langue. Ma main se tendit pour caresser son sein, mais sous la passion de cet acte, je n’eus même plus la force de le caresser.
Elle devait être tout aussi affamée que moi, car elle vint rapidement sur moi, me chevauchant comme la première fois. La seule différence près fut qu’elle ne glissa pas d’un coup sur mon sexe. Cette fois, elle glissa le long de la moitié, environ, avant de jouer sur la force de ses hanches pour monter et descendre sur mon sexe dressé. Au fur et à mesure des mouvements, sa cadence augmentait. Ses gémissements trahissaient le plaisir qu’elle prenait et l’entendre de la sorte m’excitait beaucoup en retour. Et je dois avouer que je n’étais pas non plus silencieux. Mais rapidement, la position la fatigua.
À quatre pattes, je me glissai derrière elle. Je n’avais qu’une envie. La baiser. Et profondément. Or, je savais que si je commençais directement à la pilonner avec force, je ne tiendrais pas longtemps et je voulais que ce moment dure. Je commençai à la pénétrer. Mes mouvements étaient lents, mais profonds. La garce faisait aller et venir ...
... ses hanches, je perdais tout contrôle dans ma retenue, le plaisir montant plus vite que je ne l’aurais cru. Elle se pencha un peu plus pour venir jouer avec sa chatte pendant que je la prenais sans vergogne, allant et venant en elle. J’étais de plus en plus excité et accélérais la cadence à chaque coup de reins. Nous avions tous les deux le souffle court. Je gémissais. Elle poussait des petits cris par moments.
Voulant retarder le plaisir, je quittai son antre. Je sentais mon sexe gonfler, palpiter. Je m’allongeai et reprenais mon souffle. J’avais peur de jouir involontairement. Elle me sourit et me regarda, tout en se caressant sans aucune retenue. Une minute passa. Je sentais mon plaisir se calmer. Elle le devina aussi, car elle vint sur moi, non me faisant face, mais me tournant le dos. J’avais une vue imprenable sur son cul si je faisais l’effort de baisser les yeux. Elle s’enfonça d’un coup sur moi avant de commencer ses mouvements anarchiques. Je prenais sa taille fermement sous l’effet de ce plaisir renaissant. Elle se caressa tout en se faisant pénétrer. La cochonne. Imaginer ses doigts jouer avec son clitoris m’excitait. Ses cuisses venaient taper de plus en plus fort contre les miennes, ses cris se faisaient plus bruyants.
Elle s’allongea et écarta les cuisses. Comme la dernière fois, je me glissai sans ménagement et la pilonnai avec force. Je sentais son sexe se contracter sous mon assaut. Ses mains glissèrent dans mon dos avant de prendre fermement la tête. ...