1. Muriel découvre le libertinage (1)


    Datte: 16/08/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Muriel57, Source: Xstory

    ... sauter le pas du réel il fallait aller en club.
    
    On a choisi ensemble un club à côté de chez nous et on planifie notre sortie : Le club ouvre à 23h, on part de chez nous discrètement à 23h30 une fois les enfants couchés. On a l’impression de redevenir ados et de faire le mur pour la soirée !
    
    Ce soir, je mets une tenue sexy que j’ai commandée sur internet : une petite jupe noire plissée imitation cuir, un haut moulant noir décolleté en V, des bas autofixants noirs à résilles et des chaussures à talons. Un string noir et un soutien-gorge demi-bonnet en dentelle noire comme sous-vêtements, un vernis à ongles et un rouge à lèvres rouge pétant complètent ma panoplie de nouvelle libertine selon mon goût : sexy sans être vulgaire. Rien que de me préparer ainsi à sortir je suis excitée comme une puce, je sentais que mon sexe était déjà tout humide. J’enfile une veste longue par-dessus tout ça et on s’engouffre dans la voiture direction le club en priant pour ne pas subir un contrôle de police dans cette tenue !
    
    Pleins d’appréhension dans la voiture, nous convenons d’observer d’abord, de voir les gens faire et de voir si ça nous plaît avant de tenter quoi que ce soit.
    
    Arrivés au club, nous entrons et déposons nos vestes au vestiaire. Une femme très sexy à la réception nous demande si on est déjà venus et nous propose de nous faire la visite. On passe de pièces en pièces, pour l’instant vides, les clients étant autour du bar : vestiaire, piste de danse, salle de douche, ...
    ... pièce avec un lit rond au milieu, chambres ouvertes ou fermées avec ou sans trous dans les murs dans une relative obscurité baignée de la seule lumière de quelques spots colorés. Les images me viennent de tout ce qu’on peut faire dans ces lieux et mon imagination peuple les pièces vides de couples faisant lascivement l’amour et de gangbangs impudiques
    
    La clientèle est de tout âge avec une majorité de quarantenaires chez les couples et quelques jeunes hommes seuls. J’ai chaud et je suis partagée entre l’excitation et l’envie de m’enfuir en courant. L’expression « les regards qui déshabillent » s’appliquent parfaitement à la situation : j’ai l’impression d’être scrutée des pieds à la tête par ces messieurs et aussi ces dames. « Regardez-moi ! Je suis le plus beau du quartier » chantait Carla Bruni, c’est exactement ça et ça m’excite davantage.
    
    La soirée s’avance, on profite du bar et on va danser sur la piste au son de la disco des années 90 (thème de la soirée). On n’ose pas aborder les clients inconnus, se contentant d’observer : Des habitués discutent entre eux, échangent quelques caresses et quelques baisers, quelques caresses s’échangent aussi sur la piste de danse avec des frôlements.
    
    A 1h30 du matin, nous décidons de faire un tour dans les coins câlins du club pour voir ce qui s’y passe. On déambule dans des couloirs encombrés d’autres gens. Ma main sert celle d’Alex fermement. On entend des gémissements qui proviennent de chambres fermées, on voit trois hommes ...