1. La tante vietnamienne


    Datte: 16/08/2022, Catégories: fh, oncletante, voyage, Oral pénétratio, fsodo, occasion, Auteur: Freyr666, Source: Revebebe

    Installé au Vietnam depuis plusieurs années, j’ai pu expérimenter plusieurs fois le savoir-faire local. Le récit qui suit m’est arrivé il y a peu de temps et malgré la barrière de la langue, on peut toujours trouver un terrain d’entente.
    
    Tout d’abord, il faut préciser qu’auparavant les familles étaient très nombreuses et qu’il n’était pas rare d’avoir une dizaine d’années ou plus d’écart entre le premier et le dernier d’une fratrie. Ainsi, bien qu’âgé de trente-cinq ans et ma copine trente-trois, j’ai croisé plusieurs fois des cousines plus âgées ou des tantes plus jeunes que moi ou autour de mon âge.
    
    C’est de l’une d’elles que je veux conter les prouesses.
    
    Alors en week-end chez les parents de ma dulcinée pour le mariage d’un de ses cousins éloignés, j’ai fait la connaissance d’une de ses tantes, à peine plus âgée que moi, trente-huit ans, qui, bien que vivant à la campagne et habillée de manière simple, dégageait une sensualité très excitante. Plusieurs fois, lors du repas, alors que nous étions assis côte à côte, j’ai senti quelques frôlements de nos mains et il me semblait que je n’étais pas moi aussi sans lui faire de l’effet. Pour elle j’étais exotique et peu importe que selon les standards européens je sois catégorisé comme « milieu de gamme ».
    
    Après, bien que je ne sois pas ce qu’on appelle un « beau gosse », la nature m’a doté d’un attribut, lui, plutôt au-dessus de la moyenne qui n’est pas sans surprendre mes conquêtes vietnamiennes.
    
    Le week-end ...
    ... écoulé, nous retournâmes à Hanoï et lorsque ma copine me gratifia d’une fellation le soir, je n’étais pas sans penser à la fameuse tante avec qui elle partageait des traits communs et c’est avec un plaisir décuplé que je jouis dans sa bouche et la vis avaler ma semence.
    
    Plusieurs semaines s’écoulèrent avant que nous puissions retourner voir ses parents, cette fois il s’agissait d’un décès. N’étant pas marié, j’accompagnai mon amie chez ses parents, mais ne pus assister aux funérailles. J’étais donc seul dans la maison quand soudain, dans la cour, je vis Trang, la tante en question. Apparemment, elle non plus n’assistait pas aux funérailles.
    
    La porte de la maison étant ouverte, je lui fis signe et elle entra.
    
    Bien qu’au Vietnam depuis plusieurs années, je ne parle que très peu la langue qui est difficile à prononcer. Je lui dis donc bonjour et lui proposai du thé. Elle s’assit à côté de moi et but sa petite tasse de thé d’un trait, en me remerciant. Elle était vêtue d’un short et d’un t-shirt léger, manifestement sans soutien-gorge, car je pus contempler sa poitrine menue quand elle se pencha.
    
    Elle le remarqua, me prit la main et me fit toucher son sein droit.
    
    Une érection fit son apparition dans mon short, ce qu’elle remarqua. Avec un petit sourire, elle posa une main sur ma verge et la caressa à travers le tissu. Elle eut, elle aussi, cet air de surprise qu’ont les Vietnamiennes qui découvrent les joies d’un pénis de bonne ampleur.
    
    Gauchement j’essayai de lui ...
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