1. America first


    Datte: 16/08/2022, Catégories: fh, fhh, hagé, extracon, cocus, alliance, grossexe, vacances, campagne, collection, dispute, odeurs, Oral conte, couple+h, Auteur: Dalibor, Source: Revebebe

    ... est bien rempli, des pectoraux bien dessinés, on voit que ce n’est pas un homme de bureau, mais un homme de la terre. Malgré ses septante ans bien sonnés, il a une très belle prestance, pas de bide, des épaules larges des cuisses sans varices et bien musclées.
    
    Je me sens un peu troublé en laissant ma Jessica à proximité, surtout que Lancy m’avait raconté que c’était vraiment un homme à femmes.
    
    La balade
    
    On commence par visiter l’enclos des chevaux et Samuel me choisit une jument qu’il m’annonce douce et lui se prend son étalon. Ce que cet idiot ne me dit pas, c’est que ma jument est en chaleur et par la suite, ce ne fut pas facile de les maintenir sans les blesser avec le mors. Mais le plus embêté, ce fut bien Samuel qui a failli deux ou trois fois être désarçonné, l’étalon voulant saillir la jument et de voir les sabots se lever vers mon dos ne me rassuraient pas et la trique sortie de l’étalon me rappelait les dangers d’être sorti seul.
    
    Cahin-caha, on arriva à la zone de débardage du bois qui était au repos.
    
    — C’est du travail d’hiver, m’expliqua Samuel, quand le bois est au repos.
    
    En continuant notre ballade, on est arrivé à la concentration des bovins. Des steaks sur pieds. Cela rend un peu nostalgique de penser que dans cinq à six jours, la moitié de ces bêtes auront passé de vie à trépas pour le plus grand plaisir des consommateurs.
    
    On tourne encore un moment quand Samuel regardant sa montre m’annonce :
    
    — Je crois qu’on peut rentrer.
    
    Je suis ...
    ... un peu surpris qu’il y ait une heure où on peut rentrer et pas une autre, mais je ne dis rien.
    
    De retour au bercail
    
    Laissant Samuel bouchonner les chevaux, je rentre tranquillement au ranch et je les retrouve toujours au bord de la piscine, presque dans la même position que quand je suis parti, si ce n’est que Jessica me semble avoir pris un petit coup de soleil.
    
    — Alors vous avez fait un bon bain de soleil, je dis en rentrant.
    — Peut-être un peu trop, qu’elle me répond en rougissant un peu ou bien c’est le soleil qui lui donne cette peau dont la couleur se rapproche de celui de la tomate.
    
    John très sûr de lui :
    
    — Elle est restée trop longtemps au soleil, mais si tu as de quoi lui mettre en après-soleil, tu peux lui en mettre quand vous irez vous reposer.
    — Je crois que je dois avoir de la biafine, cela fera l’affaire.
    
    C’est alors que je remarque une certaine gêne de Jessica, elle n’a pas l’air à son aise ou je me fais un cinéma.
    
    N’ayant pas encore rattrapé le décalage horaire, on va relativement tôt au lit, comme des jeunes mariés et je commence à prendre soin de ma chérie. J’étale la biafine sur le dos et quand je veux tirer le slip, dans le cas où elle aurait fait cul nu, de tartiner aussi son popotin ; mais elle résiste à mon intention et j’insiste pour découvrir un derrière qui a dû passer l’après-midi au soleil.
    
    — Je pense que là, la biafine me semble indispensable, que je lui fais, mais comment se fait-il qu’il soit tout rouge ?
    — John était ...
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