Sur le toit (1)
Datte: 15/08/2022,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: Fabien99, Source: Xstory
Cette histoire s’est déroulée dans les années 80 dans une grande ville du bord de la méditerranée. A cette époque, tout juste à 18 ans passés, plutôt timide et réservé, j’avais du mal encore à développer une relation autre qu’amicale avec les filles de mon âge. Cependant, j’étais plus qu’attiré par les femmes mûres autour de la quarantaine qui se rendaient compte de mon désarroi quand elles s‘adressaient à moi et surtout du regard que je portais sur elle.
Un regard qui en disait long sur mon envie de découvrir davantage ce qu’il y avait sous leurs robes, sous leurs jupes, la forme naturelle de leurs seins enveloppés dans la dentelle et derrière les tissus légers et transparents des robes d’été.
Il m’arrivait souvent depuis plusieurs années déjà, d’attendre patiemment quand des amies venaient rendre visite à ma mère, pour boire un café et papoter entre femmes, de m’installer dans un coin de la terrasse avec un livre à attendre de voir un bout de culotte ou un téton qui pourrait pointer à travers leurs chemisiers.
Parmi ces femmes, la voisine de l’immeuble Carine, belle brune, cheveux mi-courts, yeux verts, la quarantaine passée, un corps plus que bien conservé, fine qui donne envie à tous les hommes qui la croisent. Veuve qui voulait profiter de sa solitude sans hommes qui entraverait sa liberté puisque sa fille unique a déjà quitté la maison familiale pour ses études. - c’est ce que j’avais compris de leurs conversations entre femmes- Elle s’aventurait souvent à ...
... venir chez nous, sans grande manière, habillée plutôt légèrement avec une robe bleu clair à bretelles, plutôt longue et transparente qui laissait entrevoir une culotte blanche à dentelle, les seins libérés de tout soutien, ne pensant pas nécessaire de s’en faire davantage, comme je suis seul avec ma mère à la maison dans la journée.
Elle avait les seins de taille moyenne, en forme de poire qu’on voyait bien ballotter à travers le tissu de sa robe quand elle venait vers moi assis sur ma chaise fétiche : « Bonjour Manuel, comment ça se passe ces vacances, alors toujours pas de copine pour cet été ? » elle en profitait pour baisser en m’embrassant pour mon grand plaisir de voir sa paire tombante et l’aréole brune qui entoure des beaux tétons juste devant mes yeux. Cette vision qui m’amenait jusqu’à sa culotte à travers son large décolleté me faisait bander instantanément à me faire mal dans mon slip, n’ayant pas le courage d’ajuster la position de mon sexe devant elle.
Comme à chaque fois, elle jetait un coup d’œil discret sur mon entrejambe comme si elle voulait s’assurer que cela me produisait toujours de l’effet. Ce que je ne pouvais cacher. Elle repartait en me faisant un clin d’œil l’air de dire : « ça t’a bien plu petit cochon ».
Carine habitait le dernier étage de l’immeuble, un appartement de 2/3 pièces avec une belle terrasse qui donne sur toute la ville et qu’on ne pouvait voir qu’à partir de l’autre partie du toit à mi-hauteur au-dessus de la terrasse et où se ...