1. Le peintre et sa muse chapitre 3


    Datte: 22/08/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Le relieur, Source: Hds

    ... la chatte avant de te baiser, allez, suce moi bien, ma bite est toute à toi ».
    
    Alors Annie prend dans la main cette tige brûlante et elle tire le prépuce vers le bas. Elle approche sa bouche du champignon violacé, (oh cette queue sent bon, elle sent l’homme et elle sait qu’elle va devenir folle de cette queue).
    
    Alors Annie passe sa langue sur ce sucre d’orge maintenant tout à elle.
    
    Elle passe sa langue sur tout le pourtour du gland, insistant sur le frein, quand elle entend son amant soupirer et qu’elle sent palpiter le pénis tout entier. Alors n’osant pas encore mettre cette queue dans sa bouche, elle descend la bouche tout le long de la hampe jusqu’aux testicules toutes douces, son amant a eu le délicatesse de se raser le sexe pour elle.
    
    Tout en suçotant la chair raide et douce à la fois, elle remonte jusqu’à l’extrémité de la bite, pour poser ses lèvres en corolle autour du gland et de la langue cueillir la première goutte translucide et légèrement acidulée, signe du plaisir intense que ressent son amant.
    
    Écartant le plus possible la bouche, elle loge difficilement le gland entre son palais et sa langue.
    
    François va lui faire comprendre qu’il est devenu son maître et qu’il va la soumettre, il prend Annie par les cheveux et d’un seul coup il lui enfonce son sexe jusqu’à la gorge lui arrachant des larmes et des hauts le cœur. Et avant qu’elle ne s’étouffe il revient au bord des lèvres, elle a juste le temps de reprendre sa respiration que François lui ...
    ... enfonce à nouveau son gros sexe au fond de la gorge.
    
    - « Tu voulais de la queue, alors avale celle que je t’offre ! Allez tête bien mon gros biberon.»
    
    Alors il se retire du fond de la gorge et il laisse Annie lui sucer le gland mais bientôt les doigts dans sa chatte commencent à faire leur effet. La main d’Annie est trempée ainsi que le drap, elle sent que sa petite rosette a eu le droit à son arrosage aussi. Elle y pose un doigt et c’est l’explosion, elle emprisonne sa main entre ses cuisses, elle tremble de tout son corps, la vague de plaisir la traverse de part en part, allant de son ventre en ébullition à ses seins et ses tétons que François se met à étirer en voyant convulser Annie. La bite dans sa bouche a étouffé ses cris de plaisir.
    
    François se retire de sa bouche, et il l’embrasse : « Maintenant je vais te défoncer la chatte !»
    
    Alors il retourne Annie, la met à genoux il va la prendre en levrette.
    
    Il passe son sexe sur la fente détrempée, il fait glisser son gland du clitoris jusqu’à l’anus, donnant des frissons à Annie qui à chaque fois que le gland passe à l’orée de sa grotte, se recule pour tenter de s’empaler, mais son amant se recule lui aussi.
    
    Combien de temps a duré ce manège ? Ils ne savent pas comme si on faisait l’amour montre en main !
    
    Mais soudain au moment où elle recule, François avance brusquement, enfonçant son mandrin jusqu’à l’utérus, dilatant les chairs à l’extrême. Annie s’écroule sur le drap, François la retient par les hanches, ...