Famille Chaaben (3) - Histoires de Sexe

Famille Chaaben (3)

... m’encules...

— Montre-moi ton cul que je m’en occupe.

Ils se mirent en soixante-neuf et Fehmi retira le plug du cul de son fils. Il posa l’objet sur son chevet et approcha sa bouche de l’anus du fiston pour le lécher. Ils se léchèrent et se sucèrent pendant cinq minutes, puis le garçon chevaucha son père. Ils baisèrent ainsi quelques minutes puis ils changèrent de position. Fehmi prit alors son fils en missionnaire pour pouvoir l’embrasser en même temps. Fares s’attrapa les tétons et les pinça et les étira sans ménagement. Ses caresses l’électrisèrent et décuplèrent son plaisir. Fehmi accéléra ses va-et-vient, et ses mouvements se firent plus violents et désordonnés. Il annonça l’imminence de son orgasme et éjacula au fond du rectum de Fares. Ils s’embrassèrent, et le garçon alla lécher la bite de son père. Fehmi en profita pour lui remettre son plu dans les fesses. Ensuite, ils se refirent un câlin et s’embrassèrent langoureusement.

Le dimanche fut aussi un jour joyeux, car Fehmi encula son fils au réveil, en fin de matinée, en milieu d’après-midi et le soir avant d’aller au lit. Par contre, pour Fares, les jours de semaine furent plus tristes. Son père ne put l’enculer que deux fois par jour à son retour du collège, et le soir après le dîner. Durant toute la semaine, il attendit donc avec impatience le week-end et ses quatre sodomies quotidiennes. En quelques semaines, il s’habitua à ce rythme et il vit arriver les vacances avec terreur. Ils devaient aller chez ...

... ses grands-parents maternels et il ne serait plus question d’être enculé par son père. Il en avait peur. Ses parents éprouvèrent le même problème, car ils ne voyaient pas comment faire.

Finalement, Meriem décréta que ses parents étaient assez larges d’esprit ; ils étaient aussi naturistes que leur fille, ou plutôt l’inverse, Meriem est aussi naturiste que ses parents, et ils sont ouvertement échangistes au grand dam des autres membres de la famille qui s’opposent totalement à cette vision de la vie.

Alors elle décida de parler de cette nouvelle vie sexuelle avec eux. Elle les appela quelques jours avant de partir en vacances chez eux.

Elle eut sa mère au téléphone et attaqua tout de suite et sans se prendre la tête.

— Maman, il faut que je te parle de quelque chose d’important... Mais il n’y a rien de grave.

— Eh bien, je t’écoute !

— Eh bien... Je veux te parler de... commença Manel un peu mal à l’aise, malgré tout.

Elle expliqua alors à sa mère que son mari et elle fantasmaient, depuis au moins 10-15 ans, sur les relations incestueuses homosexuelles.

Fatma, la mère de Meriem, ne trouva pas ça très banal, mais elle ne fut pas plus choquée que ça.

— Tu sais, ma Chérie... Franchise pour franchise, ton père et moi avons fantasmé parfois sur ton frère et toi quand vous étiez enfants. Ce n’est pas un crime... Bon... On n’a jamais mis en pratique.

— C’est là que c’est plus compliqué pour nous, car c’est notre fils qui a fait le premier pas, disons... ...