L'inauguration du donjon - Nina partie 3 - Histoires de Sexe

L'inauguration du donjon - Nina partie 3

... plein fantasme à vous regarder toutes les deux. C'était vraiment très excitant de vous observer…

- Je vois bien ça à la bosse dans ton string... Nous n'avons même pas eu le temps de nous faire la bise et de faire connaissance que tu oses déjà te présenter devant moi la bite tendue, ajoute-t-elle un sourire narquois aux lèvres.

Je me lève alors de la chaise et je me dirige vers Julia pour enfin la saluer comme elle vient de le suggérer. Je m'incline en avant pour lui faire la bise et je reçois une violente gifle qui m'échauffe immédiatement la joue gauche.

- Qui t'a dit qu'on en avait fini ? m'interroge Julia.

- Nina venait de me libérer alors j'ai pen...

Une seconde gifle en revers m'interrompt en pleine phrase.

- C'est "Maîtresse Nina", nous te l'avons déjà dit ! Et c'est nous qui décidons quand tu seras libéré.

- Oui Maîtresse, lui répondis-je en baissant la tête tout désarçonné.

- Nina m'a confié qu'elle te dominait depuis quelques mois maintenant et que tu fantasmes d'être pris en main plus... sévèrement va-t-on dire. C'est exact ?

- Euh, je ne comprends pas... Pourquoi a-t-elle dit cela ??? répondis-je interloqué.

Nina nous rejoint et elle me décoche une gifle qui claque sèchement au contact de ma joue.

- Tu oses prétendre que je mens à Julia ?

- Non, Maîtresse Nina, murmurais-je tout penaud.

- Je préfère entendre ça, rétorqua Nina.

- Puisque tu ne sais pas ce que tu veux, nous allons prendre les choses en main pour toi. ...

... Allonge-toi sur le banc à fessées, conclut-elle.

J'obtempère et Nina verrouille immédiatement la large sangle passant au niveau de mes reins pour me plaquer sur le banc. Elle poursuit d'un côté pour attacher mon poignet, ma cuisse et ma cheville avec d'autres sangles en cuir. Julia en fait de même en miroir de l'autre côté du banc.

- Ton sort est maintenant scellé, tu es bloqué sur ce banc, tu nous appartiens ! murmure Julia à mon oreille.

Toutes deux se dirigent vers le présentoir et elles y récupèrent chacune un martinet en cuir. Elles reviennent à proximité de moi, chacune d'un côté du banc. Les coups de martinet commencent à tomber, tout d'abord légers, puis je ressens la morsure plus intense, voire la lourdeur des coups qui percutent ma chair. Mes épaules, mes fesses, mes cuisses, mes pieds, tout y passe. Je commence à ressentir les effets des endorphines, me plongeant dans un état second. Mon corps se relâche lentement sous les coups qui suivent. Nina le fait remarquer à Julia.

- Je crois qu'il est à point pour la suite !

- Oh oui ma belle, on va pouvoir passer aux choses sérieuses ! confirme Julia.

Nina baisse alors mon string jusqu'à mes genoux. Je suis ainsi présenté à quatre pattes sur ce banc, le cul outrageusement exposé, la queue et les couilles pendant entre mes jambes légèrement écartées.

- C'est parti ? demande Nina à Julia.

- Allons-y, il est grand temps de réaliser ses fantasmes... répond Julia

Je reste incrédule, de quels fantasmes ...