Un collègue dragueur
Datte: 13/08/2022,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Salomé, Source: Hds
... insensible ; j'entreprends de l'astiquer de plus en plus énergiquement, cherchant à le faire atteindre ses limites, mais il me stoppe bientôt. Si je poursuis, il lâche tout en moins de deux minutes et il veut me procurer autant de plaisir que ce que j'ai pu lui offrir. Je lui tends alors la capote, lui confirmant mon envie de me faire prendre. Nous scrutons les environs pour nous assurer que nous sommes seuls avant de nous lancer.
Vérification faite, nous songeons à la position adéquate, le jogging n'étant pas pratique sur le muret. Tant pis pour le face à face, bien plus excitant à mon goût, ce sera de dos, une union du loup. Je me retourne et m'agrippe au muret tandis qu'il enfile la capote avant de baisser mon jogging puis mon string. Il apprivoise par quelques caresses mon sexe dégoulinant, écarte mes lèvres mouillées et insère deux doigts en moi. Quelques passages dans ma fente nous attisent davantage au point de céder la place à sa verge.
Me saisissant par la taille, il la présente contre et, dans un coup de reins quelque peu appuyé, la fait pénétrer enfin au sein de cette caverne brûlante de désir. Il glisse délicieusement au milieu de ma cyprine lui offrant une généreuse lubrification. Il s'enfonce de plus en plus profondément jusqu'à la garde, faisant accroître le plaisir à chaque va-et-vient. Le doux rythme initial laisse progressivement place à une union charnelle plus intense. Il me lime la chatte de plus en plus rapidement, ses bourses claquent contre ...
... mes fesses, je m'accroche et gémis, ne pouvant retenir ce plaisir m'envahissant. Je suis chaude, tout comme lui qui halète et émet des râles à chaque coup de reins faisant pénétrer sa verge au plus profond de moi. Il traverse tout mon vagin, bute contre les parois de mon utérus, occupant tout mon sexe que je lui offre sans retenue. Quel délice de se faire ainsi prendre ! Je le laisse s'occuper de moi à sa guise, savourant la puissance de ses pénétrations qui m'enivrent de plaisir.
Sur le point de jouir, il émet de forts coups. Sachant qu'il arrive certainement au terme de ses capacités, je déguste ces dernières secondes et laisse échapper quelques cris avant qu'il ne jouisse en moi. Il se retire et ôte rapidement la capote qu'il dépose en attendant de pouvoir la jeter.
Je me rhabille, Quentin range son membre encore quelque peu bandant puis nous nous installons afin de nous remettre de ce délicieux moment. Un sentiment de gêne semble alors s’installer, comme si nous n'assumions pas nos ébats. C'est étrange, avons-nous cédé à nos pulsions trop rapidement ? Le manque chez chacun a-t-il eu raison de nos corps à tort ? Peu importe, c'est fait et nous devrons assumer.
Petit à petit, nous recouvrons nos esprits. L'atmosphère se détend lorsqu'il me propose de faire un crochet par un fast-food afin d'aller nous hydrater après cette séance intensive de sport. J'approuve son idée et nous partons ainsi récupérer la voiture.
En chemin, il revient à tâtons sur notre début – ou ...