1. Mon colocataire informaticien (1)


    Datte: 12/08/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Master_of_Words, Source: Xstory

    ... onglets dont j’ignore l’utilité, il me dit qu’il ne trouve rien d’anormal et que tout fonctionne correctement, selon lui.
    
    — Je veux te baiser.
    
    Les mots sortent tout seuls. Je ne peux plus d’attendre. Je n’ai même pas la patience de flirter et de le séduire. Je veux du sexe. Là. Tout de suite. Et je ne compte pas attendre une minute de plus. Je sais qu’il me trouve à son goût. J’avais déjà plusieurs fois surpris son regard sur mes fesses ou mon décolleté quand j’en mettais un (et qu’il n’était pas derrière ses écrans). Rien de plus. Alors, il se lève de sa chaise de bureau et s’allonge dans son lit, un simple matelas posé au sol.
    
    — D’accord. Viens.
    
    Ses mots me surprennent. Je pense que je ne m’attendais pas à ce qu’il accepte et, en tout cas, pas aussi rapidement. Il enlève son gilet et son t-shirt, se retrouvant simplement vêtu de son boxer. Pour le coup, je dois avouer être un peu plus gênée, me retrouvant, pendant quelques instants, pudique alors que, la minute d’avant, j’étais prête à me jeter sur lui. Je m’allonge près de lui, échange une ou deux banalités avant de prendre mon courage à deux mains. J’enlève ma jupe, dévoilant un string noir que j’ai décidé de porter expressément pour ce soir. Je me redresse pour enlever mon débardeur, libérant une petite poitrine avant de finalement, enlever mon string. Je suis complètement nue et je n’ai pas besoin de me retourner pour savoir son regard sur moi. Je me rallonge, les bras croisés sur mon ventre. J’essaie de ...
    ... m’y faire à cette situation. En deux ans, je n’ai jamais imaginé que cela puisse être possible un jour. Et me voilà nue, dans son lit, avec lui, en train d’échanger des banalités sur mes cours et sur la cuisine (ma passion).
    
    Ce manège dure de longues minutes. Je sens que lui parler me détend. Ayant trouvé assez de courage, je glisse ma main sous son boxer. Mes doigts attrapent son sexe bandant déjà à moitié. Il n’est pas impressionnant, mais n’est pas si petit. Tout ce que je veux, c’est du sexe, peu importe. Rien que le fait de commencer à le branler m’excite. Je lui pose quelques questions sur sa vie sexuelle. Les questions, tant que les réponses m’excitent davantage. Je glisse mon autre main entre mes cuisses, caressant mon sexe déjà humide alors que ma première main s’active, un peu plus, sur son membre. Je ne peux m’empêcher de lâcher un soupir de plaisir entre deux questions.
    
    — Ce n’est qu’un coup, rien de plus, lui dis-je. Marché conclu ?
    
    Il me tend sa main pour sceller cet accord. Je retire, instinctivement, celle d’entre mes cuisses avant de me raviser et de sortir ma main de son boxer, scellant cet accord avec cette dernière, dans un petit rire. Tout cela m’a bien échauffé et mes doigts sont bien humides.
    
    Je me redresse, ensuite. Il retire son boxer et je viens sur lui, m’allongeant presque dessus. En position de soixante-neuf, je commence à prendre son sexe en bouche, littéralement avide de dévorer ce membre de chair. Je ne tarde pas à sentir sa langue, ...