Dans la maison de nos voisins (1)
Datte: 12/08/2022,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: sud-est, Source: Xstory
Maud et moi étions installés depuis un mois dans ce petit village quand nous avons fait la connaissance des propriétaires de la maison mitoyenne, leur résidence secondaire. Caroline, Julien et leur fille unique Déborah vivaient en région parisienne. Ils ne venaient ici qu’à l’occasion des vacances scolaires ou de week-ends prolongés.
Ils avaient à peu près nos âges, une petite quarantaine. Déborah avait dix-huit ans.
Nous nous sommes tout de suite bien entendus, à tel point que dès leur venue suivante, fin avril, ils nous confièrent les clés de leur résidence, au cas où quelque chose arrivait en leur absence. De plus, ils nous proposèrent de nous prêter des outils de jardin qu’on ne possédait pas.
Il est très bizarre de pénétrer chez les gens en leur absence, y compris quand on a leur autorisation. Mais nous avons tardé à le faire. Il fallut qu’un violent orage éclate, de grêle puis de pluie, mêlé de puissantes rafales de vent. Une coupure d’électricité nous plongea dans la pénombre pendant presque deux heures ce soir-là. Nous avons allumé des bougies et ouvert un excellent vin rouge, en nous disant que si c’était la fin du monde qui s’abattait sur nous, autant se faire plaisir.
L’étrange ambiance qui succéda à l’orage, combinée aux effets de l’alcool, donna envie de baiser à Maud. Elle me le fit savoir en prenant ma main pour la poser sur sa cuisse. J’en avais envie aussi, mais je lui ai dit qu’auparavant, je devais aller faire un tour dans la maison de ...
... Caroline et Julien, des fois que le vent aurait causé des dégâts sur le toit ou ailleurs.
Elle répondit qu’elle m’accompagnait.
L’électricité était toujours coupée. Nous avons pris une lampe de poche chacun et sommes sortis.
La cour et la route étaient jonchées de feuilles et de branches brisées. Nous avons gagné la maison voisine et j’ai ouvert. Maud a refermé la porte et je me suis dirigé directement vers l’escalier qui menait à l’étage, puis au grenier. Maud resta au rez-de-chaussée. Nous n’étions entrés que dans la cuisine jusqu’à ce jour. Elle souhaitait visiter le salon.
Là-haut, je me suis mis à examiner les ardoises du toit, puis le plancher, les meubles et les affaires entreposés, en quête d’une éventuelle infiltration d’eau. Pendant ce temps, j’ai entendu les pas de Maud grimper les marches jusqu’à l’étage où se trouvaient les chambres. La poignée d’une porte a couiné et j’ai poursuivi mon exploration du grenier.
Apparemment, il n’y avait eu aucun incident.
Je suis descendu.
A l’étage, dans la chambre de droite, j’ai trouvé Maud en train d’examiner le contenu d’une grande armoire. Sa lampe était posée au bord d’un lit, derrière elle.
— Qu’est-ce que tu fabriques ? dis-je.
Elle répondit sans me regarder :
— Je fais ma curieuse.
Je me suis mieux avancé. L’armoire était à moitié garnie de vêtements pendus à des cintres. Maud les passait en revue, comme si elle s’était trouvée dans un rayon de magasin.
— Ne touche à rien.
— T’inquiète, ...