Lucie, But Not Lucky (?) Ch. 09
Datte: 11/08/2022,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bycinolas, Source: Literotica
... ainsi et me demande souvent d'une main ferme d'aller visiter le reste du domaine. Alors d'une langue bien baveuse je fais reluire la hampe, la rends étincelante, m'attarde à la lisière du gland pour ensuite entamer une descente sur toute sa verge. Elle en est tellement luisante qu'elle pourrait se la jouer disco dans son nouveau costard à paillette! Je m'attache également à lustrer le cuir de ce chauve à col roulé avant de le happer entièrement.
Je ne suis pas une grenouille à grande bouche, aussi quand son gland vient taquiner les limites de mes capacités buccales, je m'empresse, toute langue dehors, d'aller lui léchouiller la verge au plus loin. Cette ruse n'est pas digne d'une Linda Lovelace en grande forme, mais la gorge profonde ne fait pas encore partie de mon attirail de suceuse avertie.
Ce paf est tenace et j'aime ça. Je m'applique cependant à ne pas le brusquer, à le maintenir au garde-à-vous sans qu'il ne rende les armes. Je n'aimerais pas le voir partir en quenouille et voir disparaître dans une épaisse fumée blanche tous mes espoirs, cet éclat épiscopal est rarement signe de bonnes nouvelles pour mon palais! C'est donc un savant dosage qu'il me faut appliquer, refréner mes envies de tétées frénétiques sur ce nœud attrayant qui me fait de l'œil à outrance, conjurer les agacements du propriétaire qui parfois s'impatiente tout en lui faisant miroiter la proximité d'un hypothétique nirvana.
Je ne "gland-ouille" donc jamais en compagnie de son dard, je le ...
... pompe, le lèche, le cajole, le dorlote, le câline, l'entretien, changeant de rythme pour ne pas qu'il se lasse ni se lâche. Je varie mes techniques, mes approches, sors toutes mes ficelles, lui fais part de toute ma panoplie de gobeuse convaincue.
Même ses deux sacs à foutre font l'objet de mon attention, ce n'est pas mon terrain de jeux favori, mais je suis consciencieuse, il ne faut pas de laisser pour compte. Alors quand ce n'est pas ma main qui cajole subtilement ses précieuses, j'aventure ma langue au milieu de cette forêt de broussaille pour quelques léchouilles appuyées. J'arrive même quelques fois à en gober une sans en déranger l'autre, la suçant tel un bonbon au miel. Et ce n'est pas ces quelques poils arrachés par inadvertance qui vont refréner ma fougue et mes envies.
Je la quitte quelques fois pour prendre un peu de recul et admirer mon œuvre, non sans conserver une main sur ces attributs. Je l'observe frémir et vibrer sous mes doigts taquins, le gland rougi, la grosse veine en émois, la tige qui crépite. C'est mon dada d'admirer le dôme de ces dards dompté par la délicatesse de mon doigté.
De temps en temps, je transforme mon clapoir en véritable pompe à pression, la fait se révéler, prendre de l'ampleur, je l'aspire à tout va, toute cage thoracique dehors puis bloque ma respiration en fermant les écoutilles. L'effet est immédiat, ce morceau de viande fraîche, seule incartade dans ma philosophie végane, se met à vibrer dans tous les sens! Je relâche ...