1. Aber deine Frau


    Datte: 11/08/2022, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Jpj, Source: Hds

    ... chaleur en son corps pour son bien être.
    
    Ses jambes à peine ouvertes, ses cuisses à peine relevées.
    
    De son ventre sourdait doucement mon sperme, blanc laiteux fluide abondant.
    
    Le sourire de la fille était éloquent, aber deine Frau...
    
    C’est l’autre fille qui a rampé sur les planches puis qui est venue au seau et a déversé une louchée sur les pierres brûlantes. Dans la vapeur, elle est revenue à nous, ses beaux nibars lourds et denses balançants. Elle a bisé chacun des deux garçons, ses copains, chastement sur les lèvres puis est venue au creux de mon amie en intention de pourlécher sa fente et boire mon offrande.
    
    Son regard en biais vers moi disait clairement qu’elle savait l’origine des mets qu’elle allait déguster.
    
    Elle était bien faite et son petit cul serré au creux étroit de deux fesses d’ado me faisait saliver. Ses fesses portaient la marque du maillot et l’on voyait qu’elle était fille bien sérieuse qui bronze textile sur des plages familiales et non pas dévergondée à traîner à l’Espiguette avec des nudistes de Camargue.
    
    Je suis resté coi en pensant que quand elle aurait épuisé la première source elle saurait probablement trouver seconde étape en félage de mon organe perso. Pour trouver l’original.
    
    Vu qu’elle était toute concentrée les fesses en l’air à déguster la chatte de ma copine, le nez dans le haut de touffe, les lèvres à bouffer le papillon, le menton dans le cul suintant de moiteurs transpirantes. Vu qu’elle était ainsi, sa croupe ...
    ... étroite ouverte, eh bien je n’ai pas hésité et prenant ses hanches élastiques à pleines mains, j’ai plongé sur son petit soleil, écartant les fesses pour l’ouvrir plus encore et plonger de ma langue dure en ses intérieurs.
    
    Elle poussait et ses entrailles s’ouvraient. Ma salive venait à son encontre et emplissait son ampoule.
    
    Nous avons alors tous deux compris que le moment était propice.
    
    Nos corps étaient tout transpirants des chaleurs intenses du sauna, elle était tête entre cuisses à boire au creux de mon amie, le cul ouvert et cambré haut, à genoux sur l’étagère de bois. J’avais croché ses hanches de mes deux mains et j’ai présenté mon gland tout décalotté de bandaison extrême à l’orée de son petit trou qui baillait d’attente.
    
    Les deux gars à côté étaient toute ouïe et n’en perdaient pas une miette. Ils ont vu ma longue verge fine entrer sans coup férir dans l’anus étroit de la jeune fille, comme aspirée.
    
    Elle avait la bouche collée aux grandes lèvres de l’autre fille et se régalait de bouffer les peaux compliquées et goûteuses qui faisaient l’accueil du vagin.
    
    J’ai un peu lutiné pour mettre en ambiance puis je suis resté sage, calme serein.
    
    Les deux filles avaient trouvé le bonheur et moi je n’étais pas mal non plus, abuté du gland au col du colon, en silence. Je pensais que le club Med était vraiment lieu de multiples opportunités malgré l’extrême chaleur de ce sauna de Saint Moritz.
    
    La Suissesse me regardait par dessus la fille qui lui bouffait les ...