Le collier de la "chienne" ! (3)
Datte: 10/08/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: antonin mordore, Source: Xstory
... sperme s’en échappant. Françoise roula de son côté, les bras et les jambes en étoile... elle reprenait haleine. Elle avait le teint rouge, les yeux brillants, et du sperme s’écoulait de son sexe malmené. Cécile regarda alors la femme en porte-jarretelles, les cuisses encore fermes, de même que le ventre plat ; un sein était à moitié sorti du soutien-gorge, mais le téton était encore masqué par le tissu.
Mais c’est la chatte de Françoise qui obnubila Cécile. Le pubis était recouvert d’un épais duvet de poils bouclés noirs. Les lèvres étaient très rouges et proéminentes et son clitoris énorme !! Cecile se demanda comment ça faisait d’y mettre un doigt, de toucher les parties intimes de la femme offerte ; mais elle n’osait rien faire, elle attendait, le regard toujours fixé sur le sexe de la femme mature...
Le mari sourit en regardant subrepticement sa femme jauger le sexe de Françoise, et dit à cette dernière :
" Alors comment tu la trouves ?
— Elle est plutôt jolie !
— Elle te plaît alors... on a envie de se la faire, non ?? Tu veux qu’elle se foute à poil et qu’elle nous rejoigne ?? Ou alors ??
Tu penses à la même chose que moi ? Dit le mari, une lueur vicieuse dans le regard.
— Oui ! On la lui amène maintenant ?
— C’est top ; rhabille-toi, on y va ! (Et apostrophant sa femme), toi, tu viens avec nous et pas de questions ! "
Cécile suivit servilement le couple. Françoise se rhabilla, enfin passa simplement son manteau gris sur son corps dénudé. ...
... Cécile se sentit frustrée de n’avoir plus la vue sur ce corps qui l’intéressait de plus en plus ! Ils gagnèrent la voiture.
— Elle peut monter avec moi derrière, dit Françoise avec excitation.
— J’allais le proposer, amuse-toi bien !
Et le mari prit le volant tandis que la jeune et la vieille femme se posaient sur les sièges de derrière. Françoise ne mit pas la ceinture et obligea Cécile à faire de même. Elle lui attrapa le col de son manteau, tira son visage vers elle, et lui déposa un furtif baiser sur les lèvres. Cécile se laissa faire pour ne pas déclencher l’ire de son mari. La vieille avait des lèvres au goût de framboise, se dit-elle, et en fin de compte, ce n’était pas désagréable du tout !
Cécile regardait Françoise avec appréhension. Elle la savait nue sous son imperméable et cela lui causait de bizarres émois. En un sens, elle craignait de se retrouver à quelques centimètres de la vieille, contre son corps presque nu, et elle savait que son mari attendait des choses fort peu catholiques des deux femmes assises derrière... Mais aussi, elle ressentait une certaine excitation pour la suite des événements.
Françoise sans un mot, lui plaça sa main sur sa cuisse et elle la descendit jusque sur la lisière de son bas. Puis elle remonta sous la jupe atteignant la jarretelle et la peau nue. Cécile se laissait faire en retenant sa respiration. Elle savait ce qui allait lui arriver. Et effectivement, Françoise remonta sa main jusqu’au pli de cuisse, pour aller ...