1. en amoureux (1)


    Datte: 10/08/2022, Catégories: Hétéro Auteur: revilo1, Source: Xstory

    ... rigole et accélère. Derrière nous, le chauffeur klaxonne, comme pour nous remercier du spectacle.
    
    Madame boude un peu. Elle n’aime pas ne pas contrôler, ne pas tout savoir avant, ne pas avoir pu donner son avis. Mais mon doigt se faufile dans son string et caresse une vulve bien ouverte et trempée. Cela la calme rapidement car, au fond, ce n’était pas grand-chose. Bien chauffée par mes caresses, la pipe et maintenant mon doigté, elle abandonne toute retenue, enlève son string, pose le pied droit sur la tablette et prend mon doigt pour se masturber avec.
    
    La situation est d’une chaleur volcanique. J’ai envie de m’arrêter, de la jeter sur le capot de la voiture et de la prendre, bestialement.
    
    Alors comme ce n’est que le début du voyage et que j’aime beaucoup torturer ma femme, je mets le clignotant sans la prévenir et engage la voiture dans la sortie pour la station d’essence. Affolée, elle m’engueule, se redresse et tente de se rhabiller vaille que vaille. Je m’arrête déjà devant la boutique qu’elle n’a pas encore pu remettre son string. Je lui dis alors d’aller dans le magasin ainsi, nue sous sa robe et de m’acheter un coca. Elle refuse tout d’abord, puis finit par accepter et sort de la voiture.
    
    Qu’elle est belle. Ses seins libres donnent envie d’être caressés. Je suis sûr qu’elle n’a pas pensé qu’ils vont se dresser sous l’action de la climatisation et attirer l’attention des mâles. S’ils savaient qu’en plus elle n’a pas de culotte..... Je ne suis pas ...
    ... candauliste. Je ne fantasme pas de l’imaginer se faire prendre dans les toilettes. Mais savoir que ma douce va involontairement faire rêver des hommes alors que c’est à moi qu’elle se donne satisfait assez mon ego.
    
    — Pfff, fait-elle en revenant dans la voiture, qu’est-ce que tu ne me fais pas faire ! Et moi qui t’obéis. J’étais gênée, j’avais les tétons qui pointaient en plus. On ne voyait que cela. Le caissier m’a regardé droit dans les seins tellement il était hypnotisé. Merci ! Merci !
    
    Je rigole doucement et nous voilà repartis. La voiture n’est pas arrivée sur l’autoroute que ma femme a déjà relevé sa robe, écarté les jambes.
    
    — Fais-toi pardonner, caresse-moi encore, me dit-elle en prenant ma main et la posant sur sa vulve.
    
    Je ne me fais pas prier. Mon doigt se balade pour ouvrir les portes des lèvres et passer du clito au vagin. Je constate que, loin d’être asséché suite à l’interruption, au froid et au passage dans la boutique, cet endroit est ouvert, glissant.
    
    — Tu as tant détesté la situation que cela ? Je lui pose la question d’un petit air mi-innocent, mi-narquois.
    
    Elle ne me répond pas, remet le siège en arrière, tient ma main pour ne pas qu’elle s’arrête et ferme les yeux.
    
    J’ai envie de profiter encore de la situation et de voir si, comme il est dit dans les textes érotiques, le chauffeur du poids lourd aurait une vue plongeante sur la chatte de ma femme.
    
    J’aperçois au loin un camion et commence à ralentir doucement tout en continuant mes ...