L'avilissement d'Aurore - Partie 10 - Histoires de Sexe

L'avilissement d'Aurore - Partie 10

Chapitre 15 -- L'arrivée de beau-papa

Quelques jours plus tard, restée sans nouvelle de Pierre et de ses amis, la gracieuse secrétaire en profite pour se détendre, même si son séjour à la ferme la hante. Les retrouvailles avec son mari ont été de courte durée, même si l'épouse aimante n'a pas manqué de le satisfaire pleinement, à la plus grande joie de celui-ci.

Mais il doit déjà repartir en stage de préparation intensive. Le vendredi soir, elle reçoit un appel téléphonique. Elle reconnaît immédiatement une voix familière : - Aurore? C'est Gérard! J'ai eu un contact avec Jean-Louis, qui me dit que tu es souvent seule à la maison. Si tu veux, demain soir, je peux passer te tenir compagnie.

On mange ensemble?

Il s'agit de son beau-père, une personne de cinquante-sept ans, grand, bien bâti. Ancien cheminot, récemment retraité, président de nombreuses associations, il reste un homme particulièrement actif et en excellente forme pour son âge. Une moustache barre son visage avenant. Il a toujours un peu impressionné sa bru. Elle se réjouit de revoir une connaissance rassurante et protectrice. Aussi l'invite-t-elle immédiatement : - Parfait! Disons 19h, à la maison! Je vous cuisinerai un bon repas!

Le lendemain matin, elle reçoit toutefois un appel de son voisin : - Bonjour, ma chérie! Tu me manques! Alors, je propose que tu viennes me rendre une petite visite ce soir! 19 h?

L'employée répond, la voix tremblante : - Monsieur, ce n'est pas possible! J'ai mon ...

... beau-papa qui vient me rendre visite, à la même heure! S'il vous plaît... pas aujourd'hui...

- C'est fâcheux, en effet! Mais je comprends. Alors tu viendras juste me faire un petit coucou à 18h précises. Nue évidemment! Comme la putain que tu es! Et sur ces paroles étonnement conciliantes, Pivert met immédiatement un terme à la conversation.

Après s'être avancée tout l'après-midi dans la préparation du repas, la Cheffe de service se rend comme demandé chez Pierre. Celui-ci l'arrête dans le hall : - Tourne -- toi, les mains appuyées contre le mur et les jambes écartées. Elle sent alors un doigt enduit de salive s'affairer sur son anus. Je vais être enculée, pense-t-elle. A sa grande surprise, il n'en est rien. Mais un suppositoire, suivi d'un second, sont insérés dans son fondement. Attendant patiemment que ceux-ci commencent à se dissoudre, le vicieux voisin reprend la parole : - Je me suis dit que ce serait amusant de tester comment tu vas résister ce soir à tes pulsions sexuelles!

Allez, rentre chez toi!

Ce n'est pas possible, se dit-elle. Le salaud! Mais j'arriverai à me contrôler. C'est la seule façon pour elle de se rassurer un minimum. Arrivée chez elle, la femme se dépêche d'aller s'habiller. Mais déjà le stimulant commence à faire effet. Les pensées un peu troublées, elle opte, presque inconsciemment pour une robe blanche, légèrement transparente, faisant deviner les formes plus qu'elle ne les montre. La tenue se porte habituellement avec des sous-vêtements ...