1. Des amis dévoués


    Datte: 22/08/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Mongil, Source: Hds

    ... ! Viens te vider les couilles ! Je suis sûre que tu en meurs d’envie… Viens !
    
    Je ne me le fais pas dire deux fois, il est vrai que je n’en peux plus ; je bande à en avoir mal et je la prends en levrette. Je sais que dans cette position je vais la faire jouir rapidement une quatrième fois en à peine quelques minutes.
    
    — Oui, mon amour, jouis, mêle ton sperme à celui de nos amis… Ohhh !! Tu es trop bon, je viens, donne-moi ton plaisir !
    
    Nos râles de plaisir se mêlent dans un trémolo de bonheur.
    
    Elle se détend quelques instants après que je me sois retiré de son con d’où s’échappe un mélange de nos éjaculations.
    
    Elle perçoit que vu son excitation, Georges est allongé et à nouveau en érection, et décide de s’empaler sur ce sexe qui lui a déjà donné du plaisir. Après en avoir repris possession, elle me regarde et me dit :
    
    — Mon amour, encule-moi pendant qu’il me baise, j’aime me faire prendre par deux hommes à la fois ! Vas-y, encule-moi pendant que Georges m’enfile par-devant !
    
    Je voyais la bite de Georges enfoncée dans son con dégoulinant de foutre et sa rosette qui palpitait. Je la graissai du foutre qui lui barbouillait les cuisses, pendant que Georges, planté au fond d’elle, la limait doucement. Je me plaçai entre les jambes de ma chérie et de Georges, je pointai ma verge sur l’anus et j’ai poussé. Je l’enculais et je sentais la queue de Georges bien enfoncée près de la mienne. Fou de désir, je l’ai bourrée à fond, nous lui arrachions des cris de ...
    ... douleurs et de plaisirs, je l’ai défoncée brutalement dans un rythme frénétique, et Georges suivait le mouvement, elle hurlait de jouissance. J’ai vu Michel s’approcher et lui présenter sa pine, qui rebandait, devant la bouche. Elle l’a happée goulûment et je voyais ses joues se déformer quand la verge de Michel s’enfournait, il s’en servait comme d’un vagin, en la tenant par la tête. Il lui baisait carrément la bouche.
    
    Elle retire la queue de Michel de sa bouche et me dit :
    
    — Deux bites, j’ai déjà connu, mais jamais trois… c’est trop bon !
    
    Secouée de partout, empalée par trois bites qui la défonçaient, elle s’abandonnait entièrement, je l’entendais grogner et gémir. Je l’enculais violemment, sans retenue. Georges ne tenait plus aucun compte de mes mouvements ; il la baisait comme un fou et sa bite lui sortait du vagin pour y rentrer à nouveau, en heurtant mes couilles. Michel s’enfonçait dans sa gorge à toute vitesse. Je sentais le sperme monter le long de ma queue, mais je me suis retenu le plus longtemps possible, pour finalement exploser en une succession d’éjaculations dans ses intestins. J’ai vu ma chérie manquer de s’étouffer quand Michel s’est vidé dans sa gorge, et du foutre lui coulait de la bouche. J’ai entendu Georges gueuler, il lui foutait toute la sauce au fond du con en lui disant qu’elle était trop bonne… Elle n’était plus qu’une femelle prise de partout, dont on jouissait en se vidant les couilles dans tous ses orifices. Il y avait du sperme partout. Dans ...