Un petit service (1) - Histoires de Sexe

Un petit service (1)

... vais me retourner maintenant, tu vas me masser les épaules d’accord ?

— Oui d’accord.

Elle se retourna et montra alors sa généreuse poitrine. Jérémy se sentait de plus en plus excité, ses mains tremblèrent tellement son émotion le trahissait. Sonia l’avait remarqué, mais resta de glace, afin de ne pas le perturber. Il lui massa alors divinement les épaules et le cou, comme un masseur professionnel, mais sans lui toucher sa délicieuse poitrine. Elle gémissait de plaisir depuis le début du massage, et elle eut une demande plutôt insolite dans une relation mère fils:

— Dis-moi mon amour, est-ce que je peux te demander une dernière petite chose, après je te laisse tranquille ?

— Oui, je t’écoute maman.

— Eh bien... Est-ce que tu peux me caresser ?

— Te caresser ? C’est-à-dire ?

La mère rougissait devant son fils qui n’avait pas compris. Elle montra avec un geste de la main, la zone de son entrejambe.

— Tu veux que je te caresse là... dit-il un peu choqué.

— Oui tout à fait, mais ce n’est pas grave si tu refuses.

— Heu d’accord maman, mais c’est de l’inceste.

— Tout ça restera entre nous, c’est juré, si tu caresses aussi bien que tu masses, je vais grimper aux rideaux !

— OK maman, tu es vraiment coquine toi.

— Je vais enlever ma culotte alors, ça sera plus pratique.

C’est dans une ambiance ...

... torride que Jérémy commença à caresser la choupette de sa mère. Il faisait de petits ronds au bon endroit, comme s’il avait fait ça toute sa vie.

— Hum, mais où as-tu appris ça ? dit-elle très excitée.

— Heu, ben sur internet aussi.

Sa mère ne put lui répondre tellement son plaisir sexuel était immense. Ses yeux se révulsaient, et serra fort le drap dans sa main. Il intensifiait les caresses et sa choupette mouillait de plus en plus. Les doigts de son fils finissaient par rentrer en elle. Son dos se cambra et son fils l’envoya directement dans les étoiles, avec le bout de ses doigts.

Après ce moment d’intimité, la mère et son fils restèrent un long moment allongés, et enlacés comme deux amoureux.

— Merci chéri pour ce moment, c’était extraordinaire, dit-elle affectueusement.

— Tu es géniale maman, je t’adore, tu sais.

— C’est gentil, tu dois être fatigué maintenant ?

— J’ai surtout mal au poignet, dit-il en riant.

— Je comprends. J’aimerais que tu saches aussi que moi aussi je pourrais te faire un massage comme tu m’as fait.

— Ha bon ? Tu ferais ça pour moi ?

— Oui bien sûr chéri, maintenant qu’on est devenus plus intimes, on peut aller un peu plus loin.

— Eh bien pourquoi pas maintenant ?

— Non, il est deux heures du matin, j’aimerais dormir un peu. Un autre jour, d’accord ?

— Oui c’est entendu.