1. Une voisine délicieuse (4)


    Datte: 01/08/2022, Catégories: Hétéro Auteur: shadowman, Source: Xstory

    ... doucement son téton, Marine en gémit. Mais je m’arrête là pour son sein et descends de nouveau en embrassant chaque centimètre de sa peau. J’arrive à son nombril, lui embrasse, le masse de ma langue, ce qui lui arrache un nouveau gémissement.
    
    Je sens une chaleur juste en dessous de son nombril, je descends, embrasse sa culotte, embrasse ses lèvres à travers le tissu. Son petit bouton est déjà bien sorti de sa cachette, je l’embrasse et le titille toujours au travers de cette barrière qu’est sa culotte. Après l’avoir accroché au lit, j’avais pris mon petit vibro. Je le pose contre son clitoris, pose ma langue au niveau de ses lèvres et les lèche. J’appuie sur le bouton et le voilà parti pour la chatouiller.
    
    Je peux de nouveau goûter à son nectar s’écoulant au travers de ce filtre à mouille. Je n’en perds pas une goutte, mais il n’empêche que sa culotte en est vite imprégnée. Une main sur son clitoris avec le vibro, ma bouche sur ses lèvres, mon autre main se glisse sous le tissu et vient titiller son petit trou. Mon index le caresse en faisant tout le tour. J’appuie de plus en plus jusqu’à ce qu’il glisse dedans.
    
    Ce doigt l’a fait fortement réagir, car elle crie son plaisir. J’ai le droit à des encouragements, des demandes d’arrêter de la torturer et de la prendre avec ma bite, car elle veut me sentir en elle.
    
    — Chut voyons, profite de l’instant. Tu ...
    ... la sentiras au moment venu. Laisse-toi faire, écoute juste ton corps.
    
    Le bout de mon index est toujours dans ses fesses, je le fais donc rentrer tout doucement jusqu’à ce que ma main vienne en butée. Je retire mon doigt, lui détache une jambe, puis lui fais glisser sa culotte, lui enlève la jambe détachée. Je la rattache, puis lui embrasse la plante du pied que j’ai en main, lui suce ses orteils, puis remonte tout doucement, le long de sa jambe en embrassant tout mon parcours.
    
    J’arrive en haut de sa cuisse, glisse vers l’intérieur, je reste un moment à l’embrasser à la limite entre son aine et son entrejambe.
    
    Ses soupirs ont disparu. Ils ont fini par laisser place à des gémissements. Ses gémissements me donnent envie de jouer encore avec elle. Je me redresse, enlève mon boxer, je me mets au-dessus d’elle, l’embrasse. Pendant que nos langues chahutent, je laisse mon pénis taper contre sa grotte, je le frotte entre ses lèvres. Ma bouche étouffe ses gémissements, mais je le sens quand même, Marine adore ça.
    
    Je le sens aussi, car son bassin vient à la rencontre de ma tige. Elle se pénètre presque, mon gland écarte ses lèvres, mais pas plus.
    
    — Ne sois pas si pressée voyons, on commence à peine à jouer.
    
    — Si je veux te sentir en moi, prends-moi s’il te plaît, je ne suis pas prête à découvrir autant en une journée.
    
    — Très bien alors dans ce cas. 
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