La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1448)
Datte: 30/07/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... cela malgré moi. Je gémissais en étant extrêmement en chaleur, ne tenant plus, je coulais littéralement ma mouille sur mes cuisses et même sans y être autorisée, je mis une main sur mon sexe pour me caresser, l’envie étant trop forte, mon cerveau ne pouvant pas réprimer ce geste masturbatoire. Je savais que je pouvais être punie par ce geste initié par moi-même sans que le Maître n’exige de me branler, mais impossible de retenir ma main à défaut d’une grosse bite pour tenter de soulager l’extrême excitation qui maintenant me provoquait des spasmes dans tout mon corps fiévreux d’excitation. Et l’envie de jouissances devenait, de fait, ultra-puissante, je devenais à l’évidence sous l’effet de ce parfum, une véritable bête de sexe… Monsieur le Marquis observait attentivement mes réactions suite aux effets si évocateurs de l’aphrodisiaque qui emplissait mes narines et enivrait mon cerveau et activait à outrance mes pulsions sexuelles, quand il me dit clairement :
- Je sais ce que provoque, comme effets foudroyants, ce très puissant parfum aphrodisiaque. Et il serait très injuste de Ma part de te punir parce que tu te branles sans Mon autorisation. Je dirai même que c’est exactement ce que je voulais que tu fasses. Et même si tu n’as pas besoin d’un aphrodisiaque pour te masturber devant Moi, je veux que tu te couches devant Moi sur ton carrelage à même le sol et que tu continues à te branler avec énergie et frénésie comme une folle, te mettant sur le dos en écartant tes ...
... cuisses largement et relevant tes genoux. Je t’autorise même à jouir sans modération car là aussi, je serai injuste de t’interdire l’orgasme, car c’est Moi qui t’ai provoqué cet état de chaleur extrême… Exécution …
Il ne fallut pas me le dire deux fois, je fus couchée sur le dos dans la seconde qui suivait, me tortillant comme un ver. N’y tenant plus, j’ai même joui avant d’être couchée ! Mais je continuais à me branler frénétiquement devant les yeux satisfait du Maître. Et je lui offrais un spectacle extrêmement lubrique, délicieusement scabreux, soulevant mes fesses du sol, branlant mon clitoris alors que de mon autre main, je me doigtais puissamment la chatte… J’avais mes tétons de femelle durs et dressés comme jamais je ne les avais jamais vus autant dressés d’excitation. Je laissais exprimer mes atomiques orgasmes qui s’enchaînaient sans discontinuité par des cris d’une amplitude sonore rarement égalée. Je ne pouvais m’arrêter, plus je jouissais et plus je me branlais, me tordais dans tous les sens dans les jouissances explosives, avec des spasmes remontant toute mon échine, enchaînant les décharges électriques orgasmiques, me faisant frissonner de milles sensations jouissives…
Tellement en chaleur extrême sous l’effet de l’aphrodisiaque, que je m’aperçus qu’une fois entre mes jambes, que le Maître était venu s’y placer. Mon spectacle de cette femelle en chaleur en train de se branler et de jouir dans des cris hors normes, le faisait à l’évidence bander et il ne tarda à ...