Ricochets (7)
Datte: 29/07/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Faunus, Source: Xstory
... qu’elle venait de la prendre. Toujours entravé, il se laissa embrasser et dominer une fois encore. Elle se redressa et de l’index lui montra son sexe d’où s’échappait la sécrétion. Cela le fit rire, il la regardait amoureusement.
— Oui, je le reconnais, j’ai aimé cette nouvelle expérience. Je ne savais pas où tu voulais en venir, j’ai été très surpris. Je dois admettre que cela a été agréable même si c’était inattendu. Tu es une sacrée coquine tout de même.
— Peut-être, cependant je dois admettre que j’ai eu un excellent maître. Non, non, tu n’es pas mon seigneur et maître. Je sais maintenant que nous recommencerons parce que j’ai vu que cela t’a plu. Bien comme tu es gentil et mignon, je vais te détacher. Pourtant j’hésite un peu, te voir dans cette position me paraît très excitant et érotique. Il est temps de faire dodo, mon bel amour.
En riant, elle le libéra de ses liens, ce qui fut l’occasion d’une lutte amoureuse dont ils avaient le secret.
En ouvrant les yeux le lendemain matin, elle aperçut Antoine qui avait enfilé le harnais après avoir retiré le sexe factice. Elle rit en voyant qu’il avait fait passer son pénis dans l’ouverture.
— Ha ha ha ! C’est très mignon ! J’y trouve seulement deux petits défauts. Tes poils dépassent ce qui est plus que moyen. Ensuite, ton escargot est tout mou. Mais merci pour cette belle image au réveil.
— Bof ! J’ai vouloir ...
... voir ce que cela faisait. De toute manière, c’était pour m’amuser. Allez petite fainéante, il est temps de te lever. L’heure d’aller bosser approche.
— Hi hi ! Je sens que nous allons encore agrémenter nos soirées avec ce jouet.
En regardant l’heure, elle se dit qu’elle n’avait plus beaucoup de temps devant elle. Elle se dirigea d’un pas rapide vers la salle de bains. Antoine la rejoignit rapidement, un peu parce que lui aussi devait se préparer et aussi pour échanger quelques caresses matinales. Ces échanges amoureux étaient l’occasion de parler en s’émoustillant de leurs ébats précédents. Bien souvent, cette rencontre les contraignait à quitter l’appartement l’estomac vide.
— Mon chéri, nous devrions être un peu plus sages à l’avenir.
— Oui, oui, pourtant c’est de ta faute, tu passes ton temps à me provoquer. Regarde ! Que fait ta main dans ma poche, tu y cherches quoi ?
En riant, il sortit la main indiscrète qui visiblement ne cherchait pas le trousseau de clefs ou le mouchoir.
— Hé ! Tu me parais un peu prude ce matin. Je voulais voir si ton zizi était rangé à la bonne place.
— Allez ! File ! Mauvaise fille dévergondée. Je ferme la maison.
Pour l’inciter à bouger, il lui claqua les fesses en riant.
— Hé ! Ça va pas non ?
— Ho ho ! Pour une fois, que c’est moi qui te fais sentir des picotements sur ton joli fessier, n’en fait pas une montagne file !