1. Ricochets (5)


    Datte: 27/07/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Faunus, Source: Xstory

    ... n’était certainement pas les conditions idéales pour faire découvrir son corps. Mais en voyant les regards, elle se dit que c’était un moindre mal et que visiblement il n’était pas choqué.
    
    — Excuse-moi Antoine, j’ai été un peu rude, j’aime tellement cette robe. Je l’ai acheté à un moment où le prix comptait moins que maintenant.
    
    — Ne t’en fais pas, je comprends ; à quelque chose, le malheur est bon. C’est du moins ce que dit l’adage.
    
    — Oui, oui en attendant, je pense que tu t’es largement rincé l’œil. Je vais passer un vêtement, je n’ai pas envie de ressentir des brûlures.
    
    — Je ne me plains pas du tout, le paysage est magnifique. Je ne pensais pas en venant ce soir bénéficier d’une si belle vue. Cela serait vraiment dommage de dissimuler tant de beauté.
    
    Fabienne se sentit rougir, elle découvrait un regard coquin chez Antoine. Et en plus, il n’hésitait pas à la complimenter. Tout en parlant, elle venait de placer la robe sur un cintre pour éviter qu’elle se froisse.
    
    — Tant pis, elle attendra lundi, je la déposerais chez le teinturier en allant au magasin.
    
    Antoine qui venait de la faire pivoter sur ses pieds l’embrassa langoureusement en la plaquant contre lui. Elle ne résista pas, s’abandonnant à l’étreinte, l’agacement faisait partie du passé. Il l’embrassait et la caressait en même temps, elle frémissait et ne se posait pas de question. Quelques jours auparavant, elle s’était interrogée et ne savait pas comment allait évoluer sa vie. Le plaisir de ...
    ... l’invitation, celui de la soirée et ce qu’elle ressentait actuellement s’additionnaient, elle se dit que ce devait être cela le bonheur. Elle avait placé ses bras autour de l’homme et la pièce résonnait des petits bruits émis. Sans la lâcher, par petites étapes il l’avait portée dans sa chambre sur le lit. Après quelques minutes assorties de tortillements, de gémissements, de rires étouffés, les deux amants totalement nus entamèrent une lutte amoureuse. Tantôt, c’était l’un qui gagnait, puis ce fut l’autre. Ce ne fut qu’au petit matin qu’ils s’endormirent en se tenant enlacés. Fabienne en s’éveillant se sentait un peu ankylosée, elle se rendit compte qu’ils se tenaient toujours. Elle l’entendit murmurer dans l’oreille.
    
    — Bonjour belle dame, j’ai dormi comme un bébé. C’est fou que tu aies réussi à me séduire comme ça. Je dois dire que je n’avais jamais vu une femme ayant de tels arguments. Tu as de jolies fesses, une minette joliment dessinée, de magnifiques tétons, ton petit trou est agréable. Toutes tes courbes sont belles. Je ne veux pas oublier ton sourire, tes yeux, tes cheveux, ton visage. Je me suis rendu compte que tu m’as jeté un sort, jolie sorcière, je suis fou amoureux de toi.
    
    Fabienne riait en l’écoutant, elle se disait qu’elle ressentait à peu près les mêmes choses que lui. Il était évident qu’elle aussi était tombée sous le charme d’Antoine. Cela la rendait heureuse d’entendre ces mots, elle aurait aimé les dires.
    
    — Tu as triché, c’est honteux ! Tu m’as dit ...
«1...3456»