1. Ma voisine raffole de ma teub. (4)


    Datte: 26/07/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory

    Je veux me faire ma voisine. 4
    
    Carole guide ma verge vers ses entrailles, remontrant le chemin à mon gros paf qui lui chatouille l’anus quand soudain, Françoise se jette sur moi. Elle me cingle le dos avec un fouet et, sous la douleur, je me cabre nerveusement.
    
    Heureusement que ma teub était sur la bonne voie, car mon dard entre d’un seul coup dans les boyaux de Carole qui pousse un hurlement de joie, de douleur et de plaisir confondus.
    
    — Aaaaaah ! Aaaaaah ! Quelle défonce ! Putain ce que tu me bourres bien ! Merci Françoise !
    
    Suite :
    
    Les paroles de son amie figent un moment Françoise qui reste le bras levé avec son fouet, ne sachant plus comment se comporter. Dépitée, elle laisse tomber le fouet et sa main se dirige vers les poils de sa chatte où ses doigts commencent à fourrager.
    
    Je couche Carole sur le côté et commence à limer rapidement le trou du cul pendant qu’elle participe en ramenant sa croupe contre mon ventre pour que son fourreau soit rempli de mon épée.
    
    J’ai attrapé à pleines mains les obus de Carole, je les malaxe pendant qu’elle bouge lascivement du cul pour s’empaler profondément sur ma trique. Mes doigts descendent vers sa vulve et la doigtent sans relâche à un rythme très soutenu. Sans crier garde, un jet de cyprine sort de son urètre, puis un deuxième. Une flaque de son jus inonde les draps. Elle crie, savourant son plaisir, terriblement excitée de gicler ainsi. Je savoure son plaisir, elle est toute à moi, sa chatte grande ouverte à ...
    ... mes doigts, son cul à mon gourdin. Le liquide chaud coule le long de ses cuisses. Carole n’en peut plus, me suppliant d’arrêter, des vagues de plaisir la font chavirer. Elle se laisse aller sur le lit, presque évanouie.
    
    J’ai en plus maintenant le spectacle de Françoise qui se titille le clito et je vois sa mouille dégouliner le long de ses cuisses. Ses doigts vont plus profondément et les lèvres de sa vulve doivent s’écarter pour qu’ils puissent glisser plus profondément dans son vagin. Elle accélère le mouvement en éprouvant un début de jouissance, me regardant poignarder le cul de sa copine.
    
    Notre copulation en cadence l’amène aux frémissements du plaisir. Elle s’acharne sur son bouton, le pinçant. Ses reins sont agités de soubresauts spasmodiques. Mais Carole me ramène à l’essentiel, toujours bien vrillée sur ma queue :
    
    — Vas-y, Nicolas ! Donne-moi ton foutre !
    
    — C’est ça, surenchérit Françoise, ses cuisses souillées de mouille et de sueur, donne ton jus à cette salope qu’elle se casse !
    
    Elle écarte les cuisses pour que ses doigts puissent aller au fond de son ventre tout en tripotant son clitoris gorgé de sang. J’aperçois sa moule béante qui bave comme une bouche d’enfant qui fait ses dents. J’en redouble d’efforts pour piner Carole, accélérant mes coups de reins.
    
    Mais Françoise ne l’entend pas de cette oreille et a repris le fouet. J’attends le feu des lanières, mais c’est Carole qui les reçoit, poussant à peine un gémissement, comme si elle ressentait un ...
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