1. Mon premier Garçon


    Datte: 25/07/2022, Catégories: Première fois Auteur: Jpj, Source: Hds

    On est un peu timide quand on est pour la première fois auprès d’un premier garçon dans un grand lit d’été au soleil cassé de volets provençaux à l’heure de sieste.
    
    Un peu timide un peu intimidée, le corps léché des rayons de soleil tamisés des persiennes vertes fermées.
    
    On a la touffe un peu jeune un peu sauvage sombre frisée et on a un peu honte à devoir présenter son trésor en telle friche. On pense, que va-t-il penser…
    
    On se dit la prochaine fois et on pense déjà à la prochaine alors qu’on a pas même encore vécu la première.
    
    Et pourtant la première fois, c’est important ça, la première fois…
    
    Bien plus que les suivantes, non ?
    
    Moi j’étais tout étonnée de me retrouver là sur ce lit provençal.
    
    C’est vrai que je l’avais tant révé tant espéré ce moment-là … que j’en étais presque en confiance en situation de coutume d’habitude.
    
    En sus ce garçon était diablement caressant et ses mains étaient douces et parcouraient mes cuisses avec légèreté sous la robe de cotonnade. Je voyais très exactement où il voulait en venir et ma culotte n’était pas un obstacle bien sérieux à ses explorations.
    
    Et il me souriait et puis moi aussi je riais, j’étais heureuse. Nous savions l’une et l’autre l’aboutissement. Et ça nous plaisait bien.
    
    Encore que moi, toute pucelle, je ne savais pas grand chose. Mais j’avoue que je me doutais un peu…
    
    Il a pris ma main et l’a posée sur lui. Sur son jean. Moi j’en révais de la bosse de sa braguette. Pensez bien que je n’ai pas ...
    ... dit non.
    
    La bosse était dure.
    
    Et en plus elle vibrait.
    
    Moi j’ai toujours été intéressée par la bosse de la braguette des garçons. Enfin intéressée à regarder. Pensez si j’étais contente d’avoir enfin opportunité de toucher…
    
    La bosse on sentait bien qu’elle grandissait qu’elle devenait dure quand par exemple en boum le garçon vous serrait pour un slow.
    
    Et puis les copines racontaient.
    
    Moi depuis longtemps je matais les jeans des garçons côté braguette. Je savais ceux qui portaient à droite et ceux qui portaient à gauche. J’ai toujours été un peu coquine.
    
    J’ai pensé là sur ce lit je risque de froisser ma robe. Alors j’ai lâché la bosse du jean et j’ai bondi debout pour quitter. La robe était en petit tas sur mes pieds. Je l’ai pliée proprement sur le dossier d’une chaise. Mes seins pointaient de leurs tétons dressés, nus sur mon poitrail, car je ne porte ni brassière ni soutien-gorge tant je suis jeune et tonique.
    
    Ma culotte blanche à fines côtes emballait chastement mon pubis déjà très velu et heureusement rien ne dépassait de la charette. Le fond tout simple sans gousset ni rien dessinait mon abricot charnu et les plis nouveaux des tendres chairs ourlées qui en sortaient depuis ma récente mue en jeune fille.
    
    Je me suis recouchée auprès du garçon et ma main, qui y avait été préalablement dûment autorisée, est revenue en coque sur la braguette tendue. Il souriait en matant ma culotte et puis il a chanté quand j’ai posé ma main sur lui.
    
    J’étais ...
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