en amoureux (2)
Datte: 24/07/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: revilo1, Source: Xstory
... lui.
C’est lorsqu’ils commencent à masser l’intérieur, s’enfonçant jusqu’au col puis revenant en massant le point g que je sens deux mains saisir ma tête et me la maintenir contre son clitoris.
Les gémissements de ma femme deviennent audibles et lorsque se rajoute ma langue, venant masser le clito en cercles concentriques, les sons se font crecendo.
— Tu me rends folle de plaisir, continue ! Dit-elle entre deux soupirs.
Je lève les yeux vers son visage. Elle est penchée en arrière, complètement offerte, ses mains caressent mes cheveux. Elle donne l’impression d’être sur une autre planète, Vénus sans doute.
Je maintiens mes actions et j’appuie même un peu plus sur la paroi de son vagin. Au niveau sonore de ses cris, à la pression de ses mains, voir de ses cuisses qui par moment m’enserrent comme pour m’étouffer, je déduis que le plaisir monte et peut être même qu’un orgasme approche.
— Je viens !!!
Oui voilà, elle jouit ma belle. Je sens sous les doigts, un petit afflux de liquide. Elle les arrache brusquement de son corps car la tension est trop forte. Ses jambes flanchent un peu.
Je me relève, la laissant reprendre ses esprits. Je l’embrasse à pleine bouche, lui faisant partager ses sécrétions.
Maintenant popole réclame sa part. La bête veut son dû.
— A moi maintenant, je vais te défoncer !
Je retourne ma femme, toujours contre la barrière du balcon, relève sa robe, la coince avec la petite cordelette et m’insère en elle.
Hum que c’est ...
... bon. Son vagin est si lubrifié, si chaud, que j’ai l’impression d’être au paradis.
Je dois me contrôler, maîtriser mes mouvements malgré la furieuse envie que j’ai de foncer pour jouir, libérer cette énergie tant retenue. Mon sexe entre et sort, lentement. C’est un torrent de sensations qui envahissent mon cerveau au glissement de ma verge sur son sexe, à l’entrée de mon gland ouvrant son vagin.
Je m’appuie sur elle. Mes mains la caressent, tirent les cheveux en arrière pour qu’elle m’offre ses lèvres dans un long baiser ardent. Je la mords dans le cou, je caresse ses seins que je fais sortir de la robe. Le village entier peut ainsi admirer sa magnifique poitrine. Quiconque regarderait vers la maison verrait ma femme, seins à l’air, en train de prendre son pied, d’onduler sous les mouvements de mon bassin.
Cette idée m’excite trop, je n’ai même pas besoin de vérifier si effectivement un voyeur profite du spectacle.
Je pelote ses seins, pince les tétons, lui enfonce des doigts dans la bouche dans une imitation de fellation. Je sens sa langue se creuser, les lécher comme un pénis.
Je ne peux m’empêcher de l’insulter.
— Humm salope, ta fellation me rend fou.
L’excitation cérébrale est à son paroxysme. Ajoutée aux sensations sur mon sexe, je sens le plaisir monter inexorablement.
Mon sexe continue son œuvre, j’alterne mouvements lents et tranquilles, puis brutaux et profonds, pour retarder l’orgasme le plus possible.
Je finis par craquer. Je tire ma femme ...