1. COLLECTION COCU. Ma belle-mère, quelle salope (2/4)


    Datte: 21/08/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... fait, elle me déshabille en enlevant ses vêtements, elle a un corps harmonieux, je dirais même de sportive.
    
    Elle a des seins soutenus par un soutien-gorge à balconnet, la pointe de ses seins fortement développés reposant sur la demie corole, son sexe est protégé par un string rose avec petit ruban sur le devant.
    
    Je me baisse, le prends dans ma bouche et tire vers le bas.
    
    Dans le même temps, l’odeur de rousse fortement poivrée monte jusqu’à mes narines, je finis de l’emmener au sol avec ma main l’autre entourant ses hanches et enserrant son fessier qu’elle doit entretenir tellement il est ferme.
    
    • Véronique, c’est divin, tu avais raison de répondre à la sollicitation d’Arlette quand nous étions dans l’eau, regarde, une autre femme que toi va mettre sa langue dans mon intimité.
    
    Ma belle-mère se joue de moi pour mon plus grand plaisir, Véronique se joue d’Adeline, il est drôle que ce soit les deux femmes les plus dociles qui commencent à se donner du plaisir.
    
    Elle a sa toison, je passe les joues dessus, elle crisse, mais je veux plus, je la pousse jusqu’à un transat où nous nous reposons pendant que les jumeaux font leur sieste et je l’aide à l’allonger.
    
    Ma bouche aidée de mes mains, écartent sa fente qui s’ouvre sans aucune résistance, j’y rentre ma langue, l’odeur est une chose, le goût en est un autre, elle aime se tortiller sous mon attaque et en retire une jouissance à la limite de l’orgasme.
    
    Dans l’axe de mon regard, je vois Arlette caresser l’autre ...
    ... gouine et s’asseoir sur une chaise, je connais bien la position qu’elle prend en écartant ses cuisses à 180°, nous le faisons souvent sur cette terrasse pendant nos siestes crapuleuses.
    
    Je broute Adeline, elle se fait brouter par Véronique, nous sommes de fieffer salopes et dire que mon homme doit encore trimer à son travail pour que sa mère et moi, nous nous éclations avec ces femmes dans la moiteur de ce début de nuit.
    
    • À la nôtre, à nos débordements, que c’est bon de nous retrouver entre femmes, Minouche, je vais voir les enfants, je reviens.
    
    • Ce n’est pas nécessaire, j’ai mis l’appareil sur le rebord de la fenêtre qui nous dira s’ils se mettent à pleurer.
    
    • Disons que je dois m’isoler quelques minutes, je voulais éviter de vous dire que je vais pisser un coup.
    
    • Arlette.
    
    • Tu vois, j’avais raison de vous dire que j’allais voir les enfants.
    
    Nous sommes assises à la table toute plus nue l’une que l’autre, quelques minutes et un morceau de musique endiablé s’élèvent des enceintes que Julien a placées sous le rebord de toit de la terrasse.
    
    • Mesdames, nous avons déjà bien baisé quand ces jolies gonzesses sont venues, dansons maintenant.
    
    C’est la première fois que je danse nue derrière la maison, chaque fois que la sono placée dans la salle joue, Julien est là et il va de soi que nous somme habillés sa mère et moi, la dernière fois, nous avons pu nous exister en nous frottant les pubis sans qu’il ne s’aperçoive de quoi que ce soit.
    
    Véronique me ...