Que d'aventures
Datte: 23/07/2022,
Catégories:
fff,
fhh,
fhhh,
copains,
boitenuit,
Oral
fsodo,
hsodo,
jeu,
libercoup,
Auteur: Mince-alors, Source: Revebebe
... la fréquentation. La rentrée, les factures occupant les esprits font débander et recroqueviller les minous. L’ambiance y gagne en esprit famille et intimité. J’adore. Faut quand même faire des pompes.
— Lève ton cul, me commande une Jessica sans pitié. Tes tablettes de chocolat !
— M’en fous, c’est vilain.
Comme elle m’accompagne, je ne calerai pas, plutôt mourir. Cela ne m’a même pas effleuré l’idée d’envoyer tout balader, la saison se finissant. Le boulot c’est le boulot.
Le soir, Alban me rejoint au club pour la finale. Nous croisons le patron :
— Alban, faites-nous le chippendale samedi. Vous savez charmer ces dames.
— Avec plaisir, Monsieur.
Le patron parti, je lui tombe sur le dos :
— Tu vas exhiber ton nœud aux nanas avec plaisir !
Ma crise de jalousie est stoppée net par l’arrivée des coiffeurs Pile et Poil qui :
— Caro, ton amoureux, trop mignon.
— Trop mignon, tu nous le prêtes ?
Je ne perds pas le nord, secoue la main d’Al :
— Toi qui as envie de faire une fellation pour savoir, que tu veux un garçon sympa, profites-en. Y sont mignons, hein !
— Heu… Hum… se racle-t-il la gorge.
— Alban, tu es en de bonnes mains avec nous.
— Quand tu veux.
— Ce soir, dis-je, ce sera fait. Mon chéri, tu sauras enfin…
— Mon chéri, c’est beau l’amour, se moque Poil.
Pile viens sous le nez d’Alban :
— Mon chéri, avec Caro, vous nous sucez tous les deux, elle te montrera. C’est un bon plan, non ?
— C’est un bon plan pour vous, mes cochons.
— ...
... À ce soir, Caro, tu sais où c’est.
Ils s’en vont, sûrs d’eux.
Ce qui est naturel pour moi ne l’est pas forcément pour un garçon, aussi je le cajole.
— Tu stresses ?
— Imagine…
— Tout, avec les lèvres et la langue, les dents en super douceur. N’oublie pas la salive.
— Tout ça !
— Si tu yeutes pas, fais en gorge profonde, petit à petit pour t’habituer. Enfin, n’essaie pas d’avaler à tout prix, gardes-en en bouche, de toute façon, y en a pas des seaux.
— Me voilà au pied du mur, soupire-t-il. On ne se rend pas compte de tout ce qu’il faut faire.
— T’inquiète pas, ça deviendra un réflexe. Es-tu rassuré, mon beau chippendale ? me lové-je à lui. Si tu veux, ils peuvent te déflorer l’œillet. Moi, je peux pas te faire, à part mettre un doigt.
— Qu’ils me… ? fait-il la moue en se dégonflant comme une baudruche.
— Tu seras prêt au cas où. Tu sauras ce que ça fait. Si ça te dit pas, tu te colles un plug dans le trou de balle comme ça, t’es tranquille.
— Un plug…
— C’est moins long et plus fin, rigolé-je.
— Ouais, eh bin c’est pas rigolo !
— Si tu fais jamais, tu auras le doute.
Les coiffeurs nous accueillent, souriants, vêtus de robes d’intérieur ou de chambre, comment dit-on pour les garçons ? Moi, cela aurait été un déshabillé. Ils en tendent une à Alban.
— Tu es déjà prête, me dit Pile.
Nous voilà face à face assis dans les fauteuils de leur boudoir.
— Alban, détends-toi, ce n’est pas la fin du monde.
Je lui prends la main, à quatre pattes sur la ...