Que d'aventures - Histoires de Sexe

Que d'aventures

... se diluent chassées par notre discussion cure de jouvence.

La bonne éducation est d’être courtoisie dans ses relations sociales en public, de bon aloi dans ses relations libertines… Hi hi, ça me plaît, vite, je l’écris sur mon cahier.

Je vais suivre le conseil de Sophie, ne rien imposer à Alban sauf une pointe de jalousie par-ci par-là, en flattant son masculin-féminin. Me remémorant le copain d’Edwige, Luc, qui m’a sodomisée parce que j’avais le plug vaginal, voilà une bonne idée, selon notre humeur, on se colle le plug là où on veut.

Je rougis toute seule en revoyant les images de Suzy prise par deux garçons en différentes positions. Je me caresse la fente tout doucement, tout doucement, je mouille grave. Quelques lacunes à combler, je serais définitivement libertine jusqu’au bout des ongles. Les images tournent plus vite, plus vite, je me caresse plus vite, plus vite, j’appuie fort sur mon clito, je jouis d’un coup ! Toute raide, cuisses serrées…

Je suis obligée d’aller à la salle de bain…

J’entends mes parents arrivés du boulot. Je descends, leur saute au cou en leur disant que je les aime.

— Que nous vaut cet élan d’amour ?
— Vous êtes formidables et je vous aime tout simplement.
— Nous aussi on t’aime.
— J’ai un boulot comme déménageur, on ne dit pas déménageuse, hein ?
— En talons aiguille ?
— Oui. Avec Diane, faut déménager sa boutique du club à celle de la ville.
— Tu vas faire la poussière des vibromasseurs, rigole M’man. T’as un bleu ?
— ...

... Non.
— Ma fille, lesbienne, conseillère de vente en vibromasseurs et autres godemichets. T’as bien fait de faire des études de commerce.
— T’exagères M’man, mes études vont me servir.

Je ne croyais pas si bien dire et cela allait faire un sacré pied de nez à l’ironie maternelle.

— Au fait Caro, il y avait une lettre pour toi dans la boîte. De Londres…

À son ton, Maman veut savoir qui… Je monte dans ma chambre pour lire tranquille. Ce ne peut qu’être Coco, mon cousin issu de germain. Rappelez-vous, celui qui m’a emmené au club en juin dernier. À moitié décacheté, j’ai un flash. Et si Loïc était mon cousin à la jambe de bois comme Sophie est ma tante ? Mince alors… Ses parents ont l’âge des miens approximatif donc… donc…

Que m’écrit-il ? Qu’il a un super boulot dans l’informatique ! Que les blondes Anglaises sont délicieusement acidulées, qu’il m’invite pour m’emmener dans les endroits chauds. Que sa copine et moi ferions bon ménage ! Le cochon ! Il me laisse un mail pour lui répondre. Je vais la soigner ma réponse mail, différente de celle que je ferai quand il sera devant moi en chair et en os.

Maman est curieuse de savoir qui, je vais lui dire et étudier sa réaction.

— C’est le cousin Loïc qui bosse à Londres
— Tu l’as vu quand ?
— Nous nous sommes rencontrés par hasard, la veille de son départ.

Nous voilà partis à parler famille, j’en profite pour me renseigner :

— Nous sommes cousins comment ?
— Ça remonte aux arrières-arrières-grand-mères. Nous ...