Gynécoquin, gynécoquines !
Datte: 21/08/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Humour
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: scribouillard, Source: xHamster
... ?
— Bien sûr !
— Vous aussi, vous m’aimez ? J’ai besoin d’amour de la part de mes patientes, vous savez !
— Votre demande est un peu surprenante, mais vous être à coup sûr un médecin adorable.
— Vous permettez ?
— Tout ce que vous voulez !
Il colle sa bouche sur celle de sa patiente, et sort sa langue pour la frotter sur une langue complaisante. Ils s’aiment ainsi pendant plusieurs minutes, puis il lui demande :
— Le Sybian qui se trouve dans la salle d’attente vous plait beaucoup, de crois. Si vous voulez, je vous le donne.
— Vraiment ? Oh, vous êtes absolument adorable !
— C’est parce que je vous aime.
— Vous dites cela à chacune de vos patientes ?
— Je dois vous avouer que oui. Mais à chaque fois, je suis sincère.
— Dans ce cas, vous êtes le médecin qui a le cœur le plus grand de toute la planète.
— Disons que je suis en dehors des normes admises dans cette profession. Pour tout vous avouer, j’ai été exclu par le conseil de l’ordre pour des pratiques en dehors des convenances. Cela ne m’empêche pas de continuer à pratiquer en toute illégalité.
— Mais alors, je ne serai pas remboursée par la sécurité sociale !
— Ce n’est pas grave, parce que je ne fais pas payer. J’agis ainsi pour l’amour des femmes. De toutes les femmes qui veulent bien me confier leur joli corps, ainsi que leur cœur, le temps d’une consultation.
Tout en disant cela, il installe un aspirateur à clitoris juste sur le petit bouton des joies et enclenche la ...
... machine, qui possède un tuyau permettant de pomper l’air de manière à stimuler l’organe du plaisir féminin, sans le toucher. Sa sensation est plaisante au point que Sabrina pousse un « Ha ! » de surprise.
— Il faut que j’examine l’intérieur de votre vagin. Pour cela, rassurez-vous, je n’utilise ni speculum, ni aucun autre instrument barbare, mais je procède d’une manière 100 % naturelle, dit-il en écartant les pans de sa blouse sous laquelle il est nu, en montrant un pénis parfaitement bandé et luisant d’humidité. Vous voulez bien ?
— Bien sûr : pénétrez-moi par tous les trous que vous voulez ! Mais c’est dommage pour le speculum : j’aime bien avoir le vagin écartelé. Je dois être un peu masochiste. Ah, c’est violent, votre aspirateur ! Je crois que je vais jouir comme une folle. Oh ! C’est fabuleux !
— Si vous êtes masochiste, ma collègue, le docteur Moloch, va s’occuper de vous tout à l’heure ! Je vais vous dresser une ordonnance pour cela.
— Chic. J’aimerais bien avoir le supplice maximum. Vous avez raison : je suis masochiste.
— Pas de souci. Et pour le speculum, c’est également possible, si vous aimez, dit-il tout en pilonnant tranquillement dans le vagin.
— Vous baisez comme ça toutes vos patientes ? Vous avez une virilité extraordinaire !
— C’est ce qu’ont toujours dit ma maman et mes trois tantes, entre deux fois où je les prenais en levrette. Et puis, plus tard, les professeures de lycée, dans la cour de récréation. On dit de moi que je suis ...