1. Gynécoquin, gynécoquines !


    Datte: 21/08/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Humour Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    ... sera pas surprise par la secrétaire médicale – elle poursuit son exploration. Elle découvre un fichier manuel contenant les vieilles archives du docteur Blanchet. S’y trouvent les photos dénudées de patientes, dont elle-même au temps de sa jeunesse, à l’époque où elle était enceinte, ce qui ne manque pas de lui rappeler cette époque bénie où un homme qu’elle aimait se tenait à ses côtés. Nostalgie. Les pathologies et les habitudes sexuelles de toutes les femmes que le vieux docteur a suivies dans sa carrière se trouvent détaillées sur les fiches. Tiens, se dit-elle, sa patronne a eu une blennorragie il y a cinq ans, et elle s’est fait avorter. Elle est plutôt mignonne, à poil, de face comme de profil et de dos, ou bien la foufounette ouverte par un speculum. Elle possède un clitoris particulièrement bien développé. Blanchet avait l’habitude de mitrailler ses patientes, afin de constituer d’épais dossiers où il ne manquait pas un seul détail de leur anatomie intime, ni le récit des anecdotes coquines qu’elles lui racontaient pendant qu’il les examinait. Pas étonnant qu’elle mette tous les collaborateurs masculins de la boite dans son lit, quand ce n’est pas sous son bureau, pour lui sucer les pieds puis la chatte, avant qu’elle leur accorde une augmentation proportionnelle à leurs talents de gigolos. Souvent, le goût du pouvoir s’accompagne d’une libido exacerbée, et cela se vérifie pour les deux sexes.
    
    Mais au final, cette lecture, remplie de termes médicaux compliqués, ...
    ... s’avère fastidieuse. Elle continue son exploration du placard qui s’avère très profond.
    
    Bingo ! Elle trouve un Sybian qui, certes, montre les traces d’un usage intensif, mais reste pleinement fonctionnel. Sabrina a toujours rêvé d’un posséder un. Tout en coiffant la tige d’un préservatif qu’elle lubrifie avec soin, puis elle le met sous tension et s’assoit dessus. Elle se souvient que Karine dit qu’on pouvait emprunter les jouets de cette ludothèque, alors pourquoi ne pas en profiter ? Elle devra le transporter dans le tram malgré son encombrement, mais le bénéfice en justifiera l’effort ! Déjà, elle imagine la scène où un adolescent de dix-huit ans, accompagné de sa mère, remarque ce curieux matériel que Sabrina tiendra sur ses genoux, et il demandera :
    
    — Dis, Maman, c’est quoi le truc que transporte la dame ?
    
    La maman, qui sait très bien de quoi il s’agit pour en posséder un, bien caché dans son grenier, rougit, maudit intérieurement la dévergondé et dit :
    
    — Euh, c’est une machine à pétrir le pain.
    
    — Pas du tout, intervient Sabrina : votre fils est grand, il est temps qu’ils apprennent certaines choses de la vie. C’est un Sybian : un appareil pour se masturber. Il vibre, il est très puissant, en même temps, il fouille dans le vagin en tournant. Tu veux que je te montre ?
    
    — Oh, oui, s’enthousiasme le garçon sous le regard courroucé de sa mère.
    
    Il y a foule dans le tram, de sorte qu’il faut que les gens s’écartent pour poser le Sybian au sol, le brancher ...
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