Marie retrouve son ex (2)
Datte: 19/07/2022,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: luc_marie92, Source: Xstory
Quand Jérôme nous a laissés, après un autre verre de whisky et quelques remerciements complices, un voile de silence s’est installé sur Marie l’Adultère, et son mari désormais officiellement candauliste, Luc, votre serviteur.
Candauliste?... Pour ne pas dire "Cocu". Disons que certains mots ont plus de mal à passer que d’autres...
Dans les histoires coquines, on attendrait ce passage obligé; inévitable : les deux partenaires, après leur partie de sexe inédite, se jettent l’un sur l’autre comme deux fauves surexcités, pour une nouvelle confrontation sauvage, tant ils se sentent libérés par l’audace dont ils viennent de faire preuve.
Dans notre réalité, cela s’est passé d’une autre façon. Marie m’a juste dit d’une voix posée, mais comme un peu fatiguée après un effort physique intense:
— J’ai besoin d’un bon bain moussant, Luc. De me détendre. De repenser seule à ce que je viens de faire. Je voudrais qu’on n’en reparle pas tout de suite, toi et moi. Je sais que tu ADORES parler de ce que tu as fait, ou de ce que tu voudrais faire... Parler de cul, pour toi, c’est presque plus érotique que l’amour lui-même. Mais laissons passer un peu de temps. Repense-y toi, de ton côté, si tu veux. D’ailleurs tu as les souvenirs sur ton smartphone! Nous sommes jeudi, je te propose d’en reparler tranquilou, samedi, et là nous pourrons faire "le débrief". Ok? Refermons la parenthèse de ces deux heures, et rouvrons là autour d’un verre, après-demain. Voilà comme j’aimerais qu’on ...
... fasse, tu veux bien?
Il m’était difficile d’exiger quoi que ce soit. Et j’ai pensé que mon épouse avait probablement raison. Mais je bandais encore en repensant à ce que j’avais vu, et plus encore, entendu. Marie me connait par coeur : les dialogues avaient été plus perturbants encore que le scénario même. J’ai passé les photos en revue, dard de l’amant tendu, mains de ma femme qui le tiennent fermement. Sa langue lapant le gland rose, la bouche pompant avec application. Un rien de malice et de vice dans son regard fixant le cadre.
J’ai vu les deux clips vidéo, elle assise sur le pieu, vêtue comme une prostituée au travail, les pointes des seins dressées, son mouvement appliqué et obscène de va-et-vient. Pour ce soir, il fallait donc en rester là. OK.
Nous avons diné de peu, j’ai visionné un épisode ou deux d’une série sur Netflix, elle s’est mise au lit avec le polar en cours. Nous avons éteint vers vingt-trois heures, en nous souhaitant la meilleure des nuits possibles. J’ai eu du mal à trouver le sommeil.
Le lendemain, je devais partir tôt, rentrer tard. Lorsque je me mis au lit, dans ce sanctuaire conjugal qui en avait vu de drôles, je remarquai que Marie avait changé la couette et les draps. Ca ne sentait pas le stupre et la débauche, juste le propre et le frais.
Et puis vint le samedi, vers seize heures... Je me réveille d’une heure de sieste. La chambre dans un clair obscur, le volet roulant laisse passer un peu de lumière. Marie vient s’asseoir sur le ...