L’agence
Datte: 19/07/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Love2share, Source: Hds
... toilettes. Il y avait deux portes closes et je ne savais à laquelle frapper. Je textai Marianna qui m’ouvrit et m’attira rapidement à l’intérieur d’une des toilettes où l’on trouvait un cabinet d’aisances et un lavabo surplombé d’un miroir. Elle remonta sa jupe, me tourna le dos et posa un de ses genoux sur le bord du comptoir.
« Vas-y mon chéri, je dois être propre pour mon patron, et les autres… Nettoie-moi bien tout ça. »
Sa chatte gonflée dévoilait un conduit bien ouvert d’où coulaient des perles blanches de sperme. Elle empoigna ma tête et l’écrasa sur son con juteux devenu un délice adultère.
« Lèche, ordonna-t-elle. Je te raconte si tu me nettoies, mais tu n’as pas le temps de me baiser. »
Je m’exécutai et me mis à passer la langue sur son fruit délicieux. Elle poussa comme pour aller aux toilettes et projeta un jet de sperme visqueux qui m’atterrit dans le fond de la gorge.
« Aspire tout, me dit-elle. Nettoie-moi bien pour les autres hommes qui vont me baiser tout à l’heure. J’ai tellement envie de queues, t’as pas idée… »
« Tu ne devrais pas te faire prendre par de parfaits inconnus sans capote », lui dis-je lorsque j’estimais mon travail effectué.
« Ce n’est pas ce que tu veux, que je me fasse remplir par le plus de mecs possible ? »
« Si, mais il y a les fantasmes et ...
... il y a la réalité. »
« Eh bien, il avait sorti une capote et l’a même enfilée. J’étais penchée en avant pendant qu’il me prenait. Je caressais ses couilles et son sexe et ça m’a dérangé de sentir ce truc en plastique. Je lui ai demandé s’il avait été testé récemment et il m’a dit que oui. Il a ajouté qu’il était sûr d’être correct vu qu’il n’avait pas eu de relations depuis les tests. Bref, je croyais que tu aimerais… »
« Bien sûr que j’aime, mais si tu veux profiter des groupes de l’agence, il va nous falloir montrer patte blanche. Tu comprends ? »
« Tu as raison, mon chéri. Je suis désolée. Je vais calmer mes ardeurs, cette matinée et ces derniers jours m’ont trop excitée. Je vais même essayer d’être sage au travail. À l’exception de mon patron, bien entendu. »
J’embrassai une dernière fois sa chatte avant de lui rouler une pelle. Elle finit de se rhabiller et me dit qu’elle était prête à aller travailler.
« Tu goutes le sexe et le foutre, mon amour », me fit-elle remarquer.
Nous réglâmes la note et je la quittai au bas de l’immeuble où se trouvait son travail. Elle m’embrassa une dernière fois en me promettant d’être sage.
« Je t’aime. Je te donne des nouvelles dès que je peux », me dit-elle en empruntant la porte-tambour de cet édifice de plusieurs dizaines d’étages.
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