La Coloc' (15)
Datte: 18/07/2022,
Catégories:
Gay
Auteur: Poiluhds, Source: Xstory
... monter de mes couilles le jus généreux que je vais offrir à mon bel ami velu.
Je me relève et prends une capote et un sachet de gel dans la poche de mon jean. Je déroule le latex sur ma queue sous les yeux de Marc qui s’est momentanément détourné de la chatte avide de Nicolas. Il bande toujours à fond, il a défait les deux premiers boutons de sa chemise et j’aime la vue de la toison sombre de son torse mise en valeur par le bleu ciel du tissu.
Quand je commence à étaler le gel sur le trou bien ouvert maintenant de Nicolas, je vois Marc s’enfoncer dans son fauteuil. Il attend quelque chose, il s’attend à quelque chose que probablement, il ignore encore.
J’approche de Nicolas, je pose mon gland dans la forêt chaude de ses poils. J’écarte les fesses sublimes pour trouver mon chemin. C’est une fournaise, il a le cul en feu et la chaleur de son excitation se communique à mon pénis tendu à fond. Maintenant que je sais que je n’ai plus qu’à avancer pour pénétrer le trou divin, je regarde Marc dans les yeux.
Un dialogue silencieux commence :
— Regarde Marc, je vais entrer dans Nicolas, je vais le pénétrer.
— Oui Julien, vas-y, rentre ton beau pénis dans le trou de Nicolas.
— Tu veux que je baise Nicolas alors ?
— Oui, baise-le, baise bien sa chatte en chaleur.
— Tu vois ma queue qui le prend ?
— Je la vois qui s’enfonce petit à petit, je vois qu’il l’avale et qu’il aime ça.
Je suis maintenant enfoncé à fond dans le cul poilu, je regarde mon sexe ...
... soudé à son anus qui m’enrobe de douceur.
Nicolas émet un bruit rauque de plaisir
— Grrrrr, c’est trop bon... baise-moi...
Notre conversation sans mots avec Marc reprend :
— Tu vois Marc, là je suis au fond de la petite chatte poilue de Nicolas, c’est inimaginable. C’est trop bon. Toi hétéro, tu ne connais pas ça...
Puis j’hésite... et j’ajoute :
— Tu devrais essayer...
Marc ne répond pas. Je suis peut-être allé trop loin, trop vite.
Mais je l’entends sans l’entendre qui me dit :
— Baise-le, prends-le, secoue-le pour qu’il sente bien ta queue...
Nos regards toujours croisés, nos bouches silencieuses laissent nos consciences se parler. Je suis sûr qu’il entend ce que je lui dis et je suis sûr que les mots que j’imagine ne sont pas inventés. Je n’ai pas d’explication, mais je sais qu’à l’instant où je crois les entendre, il les prononce au fond de son esprit.
Et... il n’a plus le choix. Sa main s’empare de son sexe dressé vers le plafond, il découvre son gland brillant et étale le lubrifiant qui s’était échappé entre les plis de son prépuce long et épais. Sans me quitter des yeux, il commence un va-et-vient rapide sur son pénis. Il est excité à fond. Ce ne sont pas des mouvements lents pour faire monter le plaisir, mais déjà une danse presque frénétique dans laquelle il entrerait pour se libérer. Je comprends que la tension accumulée est trop forte et qu’il est maintenant pleinement avec nous. En se masturbant sans retenue devant moi, il me rejoint ...