COLLECTION ESCORTBOY. Comment j’ai débuté ? Saison III. (8/9)
Datte: 17/07/2022,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... où elle raccroche.
• Le travail reprend !
Reine est dans l’encadrement de la porte, magnifique rousse, piquante à souhait comme j’ai pu le vérifier toute la nuit.
• Je t’attends dans la cuisine, café.
• Oui.
Croissant et café, croissant certainement congelés, Reine nue sous son peignoir, est restée dans l’appartement.
• Dommage que tu voies quelqu’un, rentre demain soir et j’aurais bien encore passé une bonne soirée ce soir.
Je t’aurais bien préparé un petit repas en amoureux.
• À quelles heures ?
• Vingt et une heures, le temps de me faire belle.
Et ton rendez-vous ?
• De quoi parles-tu ?
Nous éclaterons de rire.
C’est beau une femme qui rit après s’être éclatée toute la nuit, du moins jusqu’à tôt ce matin.
Inutile de lui dire qu’avant de la retrouver, j’aurais été gagner quelques monnaies trébuchantes dans la chatte d’une autre femme.
Douze heures, hôtel à Neuilly, chambre 169, une partie du numéro prédisposée et la pute est prête pour honorer son contrat et empocher l’argent de son dur labeur.
69, ça m’aide à m’en sortir honorablement, car côté sexe, je bande un peu mou.
Avoir une relation avec une femme et tapiner dans la journée, à part devenir un simple gode, un homme normalement constitué peut rencontrer quelques problèmes.
Mais globalement je m’en sors bien.
Un peu moins de 15 heures, chez moi, dans mon lit, hélas, mon portable sonne me réveillant.
Celui de travail, je pensais l’avoir coupé.
Claude a ...
... d’autres escortes à sa disposition, moi je rejoins ma reine, pardon, Reine avec pour une fois un peu de retard.
Elle m’a dit me préparer un repas, je joue le grand jeu, smoking, mais le noir, le blanc elle le connaît déjà.
• J’ai cru que j’allais dîner seule, mais tu es là, as-tu récupéré ?
Robe du soir, j’avais vu juste, blanche pour elle.
Noir-blanc, blanche rousse, je lui prends la main et mes lèvres l’effleurent avant de la prendre dans mes bras pour un baiser profond.
Il est drôle de prendre une femme dans ses bras, surement la sauter comme hier et que dans mon for intérieur, je sais que la femme de ma vie est ailleurs.
• Passons à table, je t’ai préparé mon plat favori.
Elle part vers la cuisine, je l’attends pour l’installer sur sa chaise.
• Regarde, lasagne, décongelée de mon fournisseur de divers produits.
Je suis la cuisinière la plus nulle de la planète, mais j’ai aussi du champagne frappé à souhait.
Repas, sono et slow langoureux, à la limite de nous installer au fond du canapé devant la télé comme un vieux couple de Français.
Mais j’assume, quelle heure est-il quand après le bain bouillonnant à jouer et dans cette chambre où j’ai dû lamentablement m’endormir.
Ce sont des cris que j’entends.
• Salope, tu profites de mon absence pour t’envoyer en l’air dans notre lit et avec une pute qui plus est.
Il fait assez jour pour voir Éléonore rouge de colère.
Je vois Reine à mon côté comme tétanisée recroqueviller comme le ferait un ...