1. La leçon de piano


    Datte: 21/08/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Jademik, Source: Hds

    Mon mari Serge et moi pratiquons depuis longtemps le triolisme. La plupart du temps avec une jeune femme, quelquefois avec un autre homme, de préférence jeune et endurant même si, dans ce dernier cas, c’est plutôt la loterie ! Mais le plaisir n’est pas aussi complet, Serge n’étant pas bisexuel. Notre plus grande joie est plutôt d’initier au sexe à trois une jeune femme inexpérimentée. Au début, cela nous paraissait un fantasme difficile à réaliser ; en réalité, c’est assez facile, y compris dans ses relations proches (travail, activités extra-professionnelles, famille) pourvu que l’on y mette du sien, de la discrétion et bien entendu des formes. Je touche du bois : nous échouons rarement (j’ai en mémoire deux cas seulement). Depuis dix ans, nous faisons ainsi l’amour à trois en moyenne une fois par mois, soit avec quelques habituées soit avec de nouvelles conquêtes. Nous avons, par exemple, initié plusieurs de nos petites cousines et filleules respectives et les réinvitons régulièrement. Ce qui ne les empêche pas d’avoir une sexualité de couple plus banale, même si deux d’entre-elles ont tenté avec nous une partie à quatre, pas désagréable je dois dire, mais ce n’est pas ce que nous préférons. Les clubs échangistes aussi, nous en avons fréquenté quelques-uns avec Serge pendant les vacances, mais les quelques partouzes ou autres gang-bangs auxquels nous avons participé ne nous ont pas laissé de souvenirs impérissables. Ce genre d’orgie devient vite le domaine réservé de ...
    ... quelques personnes droguées ou vicieuses, souvent les deux, pas toujours reluisantes, si vous voyez ce que je veux dire. C’est quand même autrement émouvant de faire cela à trois, dans une atmosphère intime et de confiance, de découvrir les charmes d’une jeune fille un peu gauche ou même timide, de voir son trouble à nos avances ou nos caresses, de briser sa résistance à oser… bref d’être partie prenante dans l’éveil de sa sexualité.
    
    Nous habitons un agréable mas isolé, à deux kilomètres d’un joli petit village haut perché situé dans la grande banlieue d’une capitale régionale du midi. Comme nous avons fait le choix de ne pas avoir d’enfant, nous sommes restés très jeunes d’esprit et altruistes, ce qui facilite grandement les contacts avec la génération 90. Serge a pourtant 43 ans. C’est un beau brun de taille moyenne, silhouette sportive, bien monté cela va sans dire. Il est prof de sport dans un club fréquenté par de nombreux lycéens et étudiants et pratique aussi la photographie, avec un réel talent dans la mise en scène. Tout cela, ça aide. Moi, je suis également prof mais au conservatoire de musique : j’enseigne le piano et donne en plus pas mal de leçons particulières. Cela aide aussi ! J’ai 38 ans, suis châtain, les cheveux longs, de forme plutôt longiligne, avec une poitrine et une taille en proportion. Le cours de piano est pour moi comme pour Serge le point de départ de certains fantasmes, même si cela fait longtemps que nous n’avons pas attiré dans nos filets une ...
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