Un deuil peu commun... (7) - Histoires de Sexe

Un deuil peu commun... (7)

Paul restait là, les bras ballants, les yeux fixés sur la chute de reins de son épouse.

Les jarretelles blanches mettaient délicieusement en valeur les fesses bronzées et musclées de sa femme. Quant aux doigts, qui visitaient son fondement, Paul dans un monstrueux accès de luxure voulait qu’ils s’enfonçassent le plus loin possible. Que cette main d’homme mûr pénétrât le rectum dans toute sa profondeur, jusqu’au poignet...

Malheureusement, l’intervention de Monica fit hésiter le tourmenteur de son épouse...épouse, qui après avoir regimbé et poussé de petits cris de souffrance, se mettait à présent à hurler des plaintes gutturales exprimant un plaisir abject !

Jamais Paul n’aurait pu croire que sa femme se livrât à de telles abominations, elle, la femme mariée plutôt prude, discrète et sans vices évidents... du moins jusqu’à ces derniers jours ! Et puis cette phrase de son père, qui l’avait cloué sur place, en même temps qu’une érection démentielle gonflait son pantalon. Son père lui demandait de pénétrer sa femme, dans cette position humiliante, devant ces étrangers, et dans l’endroit qu’elle avait le plus intime... Son père lui demandait d’enculer sa femme Cécile !

Alors, comme un automate, ne réfléchissant pas, obnubilé par sa verge qui le démangeait à l’excès, et par le trou du cul de sa femme ouvert sur l’univers, il laissa tomber pantalon et caleçon, et s’approchant, il plaça ses mains sur les fesses offertes et s’agrippa comme un dément à la chair ...

... offerte.

Son pénis, balançant sous le coup de l’excitation, dans un mouvement vertical, entre rondelle et vulve distendue et débordante de cyprine, Monica en "bonne Samaritaine du cul", saisit la verge, juste avant le gland, et déposa celui-ci à l’entrée de la caverne sacrée. Un simple coup de reins et un Paul gémissant, s’engouffrait sur au moins dix centimètres, dans une Cécile bestialement offerte aux prochains coups de boutoir de son mari.

Ceux-ci ne tardèrent pas à venir, et Cécile se lança dans une suite de borborygmes inintelligibles, de cris de jouissance non retenus, et de gémissements qui auraient crevé l’âme et les tympans de quiconque.

Paul prenait son pied en enculant sa femme, et cette dernière le lui rendait bien en se faisant démonter le rectum ! Tandis que le couple se perdait sur des chemins dévoyés, Monica caressait les seins aux tétons dressés par le désir, et le père excité par la scène pornographique, sortit son engin et le présenta devant la bouche de sa belle-fille... qui le goba sans hésitation.

Le mari regarda son père présenter son sexe bien tendu vers la bouche de sa fidèle épouse, voyant celle-ci sortir sa langue, pour en caresser le gland violet, puis le goba sans hésitation !

Cécile ne pouvait se servir de ses mains pour saisir et caresser le mandrin qui s’enfonçait dans sa bouche, tant elle était placée le cul en l’air, la tête dans le fond du sofa, tournée de côté et ses bras coincés sous son buste. Aussi le père prenait un malin plaisir à ...