1. Une soirée très particulière (1)


    Datte: 16/07/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: desanges, Source: Xstory

    ... Julien engueula alors vivement François, l’invitant à nous replonger dans le noir au motif que nous avions envie d’intimité... pour danser. Mécontent, mais docile, il s’exécuta.
    
    Zoé reprit le chemin de la bouche d’Antoine tandis que je m’occupais du sein opposé tout en caressant son petit cul bien rebondi par un jeans très moulant. Rapidement, je couvrais son cou de baisers tandis que ses mains flattaient nos sexes par-dessus nos pantalons. Julien monta le son et rapidement, j’entendais les petits gémissements de plaisir de Vanessa dont la chatte devait être sûrement possédée par ses doigts.
    
    Je savourais l’instant, me disant que rapidement, cette parenthèse charnelle se refermerait au stade de ces doux préliminaires (enfin moins doux pour Vanessa). Mais je sentis dans cette obscurité chaude et assommante Zoé se dégager, non pour fuir, mais se placer à genoux devant Antoine et moi. Elle cessa rapidement de nous caresser pour, après quelques tâtonnements, défaire nos ceintures, déboutonner nos pantalons et les descendre d’un coup sec et expert, avec nos boxers, sur nos chevilles. Voilà que la frêle beauté blonde nous branlait avec une cadence digne des galères romaines. Je la sentais décalotter et recalotter mon gland, sa main tenant fermement ma tige de plus en plus gonflée. Et j’eus le premier l’honneur d’être pris en bouche. Ses lèvres fines pressaient mon sexe, sa langue glissait sur mon dard et je savourais la pression de son piercing sur les veines de ma queue. ...
    ... Elle passa ensuite au membre d’Antoine. C’était si bon.
    
    Les sensations me paraissaient démultipliées par l’obscurité.
    
    Zoé se releva aussi soudainement qu’elle s’était agenouillée. Elle glissa vers la porte du séjour, actionna l’interrupteur lançant que ce serait quand même bien plus agréable avec de la lumière. Nous échangeâmes alors tous des regards hagards à la fois éblouis et gênés d’être ainsi découverts, comme ramenés à la réalité de nos corps. Nous n’étions pas en effet dans un rêve, mais bien éveillés dans le séjour de l’appartement de François. Vanessa était assise sur le dossier du canapé, cuisses écartées, la jupe relevée sur sa chatte aux lèvres ouvertes sous un petit ticket de poils bruns, un sexe charnu manifestement fraîchement visité par la langue – parait-il experte – de Julien. Antoine était à mes côtés, devant la porte-fenêtre, à côté d’une table à manger par encore desservie, l’air un peu niais, son pantalon sur les chevilles et sa queue dressée fièrement vers la petite assemblée. J’étais dans la même situation que lui.
    
    Quant à François, il devait quelques instants plus tôt s’adonner à un plaisir solitaire, se retrouvant lui aussi le sexe à l’air, la chemise sur les cuisses. Timide et très rangé, il tenta de remonter son pantalon pour cacher sa queue poilue. C’était sans compter sur la rapide Zoé qui en une fraction de seconde l’avait pris en bouche. Il ne fallut guère de temps avant que notre gentil ami n’éjacule, se vidant en abondance sur le ...