Le patron de mon homme me soulève. (1)
Datte: 15/07/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: peaceme91, Source: Xstory
... dans ma vie et pendant une fraction de seconde, et pour ne pas vous mentir et à ma grande honte, je me le suis imaginé faire une entrée fracassante au milieu de mes petites fesses...
Tandis que je me désaltère, des voix se font entendre du salon, où Pierre a guidé son supérieur. J’attrape la bouteille de Pinot noir et trois verres de vin, les places sur un plateau et me dépêche de rejoindre le salon. Instinctivement, j’adopte une démarche lascive avec mes talons, et offre le vin d’un sourire charmeur. Les yeux de Gérard se posent sur moi, offrant en réaction un frisson à tout mon corps.
— Merci, Noémie, vos petits fours sont excellents. Vous êtes un véritable cordon bleu.
— Merci...
— Franchement, je dois vous avouer que je suis stupéfait, entre nous, si Pierre ne m’avait pas raconté votre passé tumultueux, je ne l’aurai jamais deviné, il a bien de la chance.
— Merci...
— C’est sincère Noémie, vous avez piqué ma curiosité au vif. Racontez-moi donc votre histoire.
— Gérard, ne serait-il pas plus pertinent de continuer notre conversation sur les chiffres de Mars ?
— Que nenni ! le coupa d’un ton sec son supérieur. Ce n’est pas tous les jours que je rencontre une créature aussi intrigante que votre compagne. Allons ma chère, parlez-moi de vous.
Rougissante, je m’exécute. Gérard me fixe d’un regard profond, le genre de regard qui vous déshabille sur place et vous donne l’impression de passer au scanner. J’ai la chair de poule de lui faire face. ...
... Inconsciemment, mes yeux fixent régulièrement ses lèvres ou encore la petite bosse sous son pantalon, mais il sait me mettre à l’aise. Je gagne rapidement en confiance, nous passons un bon moment, même si Pierre est écrasé par la présence de son supérieur. Il faut avouer que voir son homme s’écraser de la sorte casse quelque chose en moi. J’ai honte, mais Pierre m’inspire de la pitié, j’aimerais qu’il ne soit plus là, je suis comme hypnotisé par Gérard.
Nous passons ensuite à table, où Pierre n’arrive plus à parler travail. Je le regarde avec dédain, il est pitoyable et j’ai mal au cœur pour lui, déjà qu’il commence à bander mou, mon désir pour lui semble disparaître comme par magie. Mes yeux sont naturellement fixés sur Gérard, la conversation se faisant même grivoise, le vin aidant, je suis rouge comme une pivoine et chaude comme la braise. Inconsciemment, je déchausse mes talons, et pose mon pied délicatement sur celui de Gérard, puis lascivement, je remonte sur son pantalon, il me regarde d’un regard de braise, je suis toute chose. Je me mords mes lèvres, je suis en train d’allumer un autre homme juste à côté de mon compagnon, je devrais avoir honte, mais je n’ai qu’une envie qu’il ne soit plus là pour pouvoir me jeter sur Gérard.
— Pierre vous m’avez convaincu ! s’exclame tout à coup mon invité. Montrez-moi votre projet ! J’espère que vous êtes prêts à travailler avec moi jusqu’au petit matin.
— Oui Monsieur, s’emporte mon homme avec joie.
— Très bien, par contre je ...