April et ses amies en quête de sexe (2)
Datte: 15/07/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: DXD, Source: Xstory
... me détailla rapidement, ses yeux s’attardant sur les espaces où ma peau était à nu. Je vis une bosse se former dans son survêt... visiblement, il appréciait ma tenue...
— Salut April ! dit-il cependant, d’un air décontracté.
— Salut, Peter. Alors, t’es venu pour ta leçon ?
Il s’approchait de moi. J’avais la sensation d’être une fleur carnivore en train d’attirer un bel insecte.
— Ouais, voilà. C’est quoi alors ce sport dont tu me parlais ?
Quand il ne fut plus qu’à deux pas de moi, je lui montrai. Je me précipitai sur lui, saisit ses épaules et avec force, je l’embrassai. Il fut surpris, mais très vite, il me rendit mon baiser. On s’embrassa un moment, sauvagement, soupirant d’excitation. Puis on se sépara.
— C’est ça ton fameux sport ? rigola Peter.
— Oui.
— Je vois... je le connais très bien...
Ce qu’il dit m’excita. Je m’étais demandé, avec sa timidité s’il n’était pas puceau. Mais visiblement, non, et c’était prometteur. En plus, il semblait prendre de l’assurance, maintenant qu’il savait ce qui allait se passer. Tout ça était parfait.
— A mon avis, dis-je avec un sourire, je m’y connais quand même mieux que toi...
— Vu comme t’es sexy, ça m’étonnerait pas.
Je le repris les épaules et il crut que j’allais l’embrasser, mais en fait, je le tirai vers le sol pour l’allonger sur les tatamis du gymnase. Docilement, Peter se laissa faire et s’allongea. Je vins sur lui et l’embrassai, tout en passant mes mains sur son torse, savourant les ...
... muscles puissants que je sentais sous son t-shirt. Dans le même temps, je pressai mon fessier bien rond et bien ferme contre son sexe à travers son short, et à en juger par les grognements de plaisir qu’il lâchait, il kiffait ça. J’en profitai pour le regarder bien droit dans les yeux, lui faisant sentir mon excitation et mon désir. C’était incroyablement chaud comme début.
Je finis par cesser mon petit manège, et me penchai sur lui pour lui retirer son survêtement et son caleçon, libérant une belle verge d’au moins 18 centimètres. Elle était déjà toute tendue, prête à l’action. Avec envie, je la pris en bouche, comprimant bien sa hampe entre mes lèvres pulpeuses. Je fis des va-et-vient, commençant doucement, histoire de trouver mon rythme et de ménager un peu Peter. Il se raidit et commença à soupirer de plaisir. Lorsque ma langue entra en action, passant et appuyant sur ses veines, et titillant son frein, sous son gland, ce fut carrément des râles de plaisir qu’il lâcha. J’accélérai l’allure, et lui massai les boules en même temps. Il eut un soubresaut de plaisir et poussa un cri rauque.
— April ! rugit-il. C’est trop bon !
Fière de moi, je fis encore deux ou trois va-et-vient, et me redressai.
— Je suis trop douée, hein ?
Il se redressa à son tour.
— En tout cas, tu commences incroyablement bien.
Il m’embrassa, et nous partageâmes un baiser passionné au cours duquel il me poussa à mon tour, pour m’allonger sur les tatamis. Pourquoi pas après tout, autant ...