April et ses amies en quête de sexe (2)
Datte: 15/07/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: DXD, Source: Xstory
... le matelas.
— Tu te laisses faire, ma belle, tu es à moi ce matin, me lança-t-elle.
Avant que je ne puisse répliquer, elle me retourna sèchement, m’allongeant sur le ventre, et commença à me lécher, me faisant un cunni par-derrière, pendant que j’étais allongée sur le lit. Sa langue tournait et retournait en moi, me faisant un bien fou et je poussai de nouveaux gémissements aigus. Ce cunni matinal me fit penser à celui que j’avais eu avec Scott, quelques jours plus tôt. Je souris en songeant que le beau brun était encore plus doué que mon amie, alors même que celle-ci avait bien plus d’expérience que lui.
Néanmoins, je prenais un pied terrible sous les coups de langue de Mary et je me sentais vibrer de la tête aux pieds. Mary en même temps massait mon fessier, appréciant sa rondeur et sa fermeté, et sous l’effet combiné de ses caresses et de sa langue, je me sentis décoller. Je jouis dans un cri aigu, et cet orgasme matinal sembla exploser dans chaque recoin de mon être.
Satisfaite, Mary me retourna, prête pour la suite. Mais mon orgasme ne m’avait pas assommée, non, au contraire, il me rendit encore plus sauvage. Je saisis la belle métisse par les hanches, et avec autorité, la renversai. Mary se débattit un peu, mais je la tins par les épaules, et m’installai sur elle, tout en la plaquant, à mon tour, contre le matelas. Un petit frisson d’excitation me saisit tandis que je contemplai Mary allongée sous moi : c’était tellement excitant les retournements de ...
... situation comme ceux-ci !
Je me dénudais, retirant mon haut de pyjama, libérant mes seins sous l’œil appréciateur de Mary. Puis, j’en fis autant avec, la débarrassant de ses habits en tour de main. Puis, je commençai à frotter nos intimités l’une contre l’autre, la chevauchant comme si c’était un mec.
— Ooooh, April !
Je la tins par le cou, et l’obligeai à me regarder bien en face.
— Tu aimes ?
— Oui, c’est... boooon !
Mes va-et-vient s’accentuaient, et le frottement nous procurait des sensations électriques. J’accélérai l’allure, gémissant à mon tour, ravie d’avoir cette belle métisse sous moi, de la voir se tortiller sous mes assauts brûlants, de la sentir en mon pouvoir, de voir son beau visage se décomposer sous le plaisir que je lui infligeai et de la baiser comme un vulgaire mec.
— C’est qui la patronne ?
Je lui donnai un coup de reins particulièrement bon.
— J’ai pas entendu ta réponse, grondai-je, impitoyable.
— C’est... c’est...
Je lui collai une gifle.
— Eh bien ?
— C’est toi ! C’est toi, April ! C’est toi la patronne !
Ravie d’entendre ça, j’accélérai encore le tempo, me déhanchant comme une diablesse. Le plaisir s’intensifia en nous deux, et nous gémîmes de concert. Je tenais toujours Mary par le cou, et la sentais se convulser de tous côtés. J’accélérai encore le rythme, ma vision se brouillant sous l’effet du plaisir. Tout ça ne pouvait finir que d’une façon, et nous eûmes toutes les deux un orgasme très intense, en même temps, ...