1. 1 - Patrick


    Datte: 02/02/2018, Catégories: hh, hbi, inconnu, grossexe, Oral hsodo, Auteur: Rollerbi, Source: Revebebe

    C’était un soir de semaine après le turbin, comme tant d’autres. Une bonne douche, et je voulais rejoindre mes amis au plus vite pour ne pas affronter ma solitude une fois la nuit tombée. Vers les 19 h 00, j’entre dans ce grand bar du centre-ville,Le Coq Hardi, et ils sont déjà là au comptoir. Quelques verres et de nombreux éclats de rires, il n’y a rien de tel pour remonter le moral, même à 20 ans !
    
    Nous sommes tous à plaisanter, et un de mes amis mime de me mettre la main au paquet ; les garçons s’amusent souvent à défier leur virilité,a fortiori un peu éméchés. En esquivant ce geste, je donne un violent coup de cul à la personne assise derrière moi sur un tabouret de bar, un verre à la main. Le brave homme se retrouve sonMartini sur son pantalon avant qu’il n’ait pu comprendre ce qui lui arrivait. Je m’excuse platement, lui commande un autre verre.
    
    — Je n’avais pas remarqué que vous étiez assis là, je suis vraiment désolé, et mes amis sont plutôt… turbulents !
    
    Cet homme d’environ 45 ans me rassure en me précisant qu’à notre âge, il l’était tout autant, et que s’il vient volontiers dans des endroits comme celui-ci, c’est justement pour y retrouver une certaine ambiance.
    
    Très sympathique, élégamment vêtu, la conversation s’engage avec nous. Vers les 20 h 30, mes collègues me demandent si nous finissons la soirée au restaurant, mais j’ai beaucoup trop bu, et n’ai vraiment pas faim. Je préfère de loin rentrer me reposer. Ils insistent à plusieurs reprises, me ...
    ... traitant de « petit joueur », de lâcheur, puis finissent par capituler, et filent poursuivre leur beuverie sans moi. Je reste à finir mon verre avec mon voisin de comptoir, nous refaisons le monde.
    
    Il s’appelle Patrick, est divorcé depuis 5 ans, tient un magasin de vêtements de marque pour hommes dans les rues piétonnes, et vient souvent se détendre après la fermeture, n’ayant personne pour l’attendre à la maison.
    
    Nos verres vides, je règle et en nous levant, je vois de nouveau son pantalon trempé, et lui renouvelle mes excuses.
    
    — Les gens vont penser que vous vous être pissé dessus, je suis vraiment navré !
    
    Le liquide est vraiment tombé sur son entrejambe, faisant une belle tache. Et une fois debout, on ne remarque que ça… et le beau paquet bien renflé trahissant une présence plutôt effective à l’intérieur de son pantalon.
    
    — Rien de grave ! dit-il en examinant les dégâts, frottant du plat de la main la zone sinistrée. J’en ai une pleine boutique ! Et puis ils n’auront qu’à me regarder dans les yeux ! ajoute-t-il en me regardant droit dans les yeux, arborant un large sourire.
    
    Dehors, le frais est saisissant. Patrick me remercie pour cet agréable début de soirée. Me trouvant très sympa, il me demande si je viendrai un jour dans sa boutique renouveler mon look. Je lui fais comprendre que le prix des vêtements fait vite mal à un petit budget. Il me propose de venir me rendre compte par moi-même en me sortant son trousseau de clefs.
    
    — À cette heure-là ?
    — Et ...
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