1. Karine et le plaisir de la soumission 1


    Datte: 15/07/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Dan48, Source: Hds

    ... reste accroupie, assise sur le ballast, avec des mouvements de déglutition : J’avale tranquillement le sperme qui reste dans ma bouche. J’aime le gout. Puis, effrayée je regarde si une personne peut me voir nue au milieu de la voie, rien ne me cache, je suis totalement exposée. Machinalement, je mets ma main entre mes cuisses, et je sens un orgasme arriver, dévastateur. Je gémis et tremble de plaisir. Remise de ce flot de plaisir, je cherche vers l’entrée de la gare, il n’y a plus personne. Je suis seule, la bouche visqueuse du sperme de ces hommes, le vagin trempé et béant, attendant quelqu’un pour me faire l’amour, un homme qui ne viendra pas cet après-midi.
    
    Tant pis pour les horaires de train, je ne suis pas état, je retourne à la clairière. Le gout du sperme dans ma bouche est toujours là, agréable, mais il me rappelle mon attitude. J’ai honte … pourtant la boule au creux de mon ventre me rappelle que j’ai aimé cela, que je suis faite pour cela, pour avoir du plaisir.
    
    Je me baigne, je n’arrive pas à sortir de l’eau, je me caresse encore et j’ai un nouvel orgasme. Je m’allonge sur l’herbe, sur le dos, les jambes bien écartées, le sexe offert au soleil, ou à celui qui voudrait me prendre maintenant, gorgée de plaisir. Je ferme les yeux et je m’endors, épuisée par les émotions de ma première véritable relation sexuelle.
    
    Je me réveille une bonne heure après, toujours seule. Je me dirige lentement vers le sentier. J’avance jusqu’à la partie de la forêt moins touffue, ...
    ... où les gens passent pour rentrer chez eux après avoir passé l’après-midi au parc aquatique. Je suis toujours nue, et le risque d’être vue me donne des bouffées de chaleur dans le creux du ventre. Je rêve d’une nouvelle rencontre comme celle du train. Je suis en plein délire. J’aperçois 2 personnes au loin qui approchent, et au lieu de retourner me cacher, je m’accroupie derrière un buisson, ma main caresse mon bouton lentement pour faire monter mon plaisir en douceur. S’ils ne tournent pas la tête dans ma direction, ils ne me verront pas, mais si je fais le moindre bruit, le moindre soupir de plaisir, je ne pourrai rien faire pour me dissimuler : je suis allongée sur le dos, les jambes écartées, les genoux relevés et écartés, mon vagin béant et face au chemin qu’ils empruntent. Ils vont passer à moins de 3 mètres de moi, trop tard pour bouger et me cacher. La honte absolue : ce sont 2 élèves de première de mon lycée. Je les croise tous les jours dans la cours. Je voulais m’exhiber devant des inconnus, je suis en train de me masturber face à 2 personnes qui pourraient raconter à tout le lycée qu’ils m’ont trouvé à poil en train de me masturber. J’ai peur, mais je ne peux plus rien faire pour éviter le drame. Je reste les cuisses ouvertes mon minou exposé à leur regard sans faire de bruit.
    
    Je ne comprends pas, ils n’ont pas détourné le regard, ils ne m’ont pas vu. D’autres personnes arrivent, je me mets à 4 pattes, et je me faufile de buisson en buisson jusqu’à la clairière. ...
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