Karine et le plaisir de la soumission 1
Datte: 15/07/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Dan48, Source: Hds
... cherche un endroit tranquille pour me caresser, et au moment où j’allais regarder par l’ouverture, j’entends arriver un bus. Il s’arrête à quelques mètres de moi. Je reste cachée derrière le vieux mur. Une trentaine de personnes descendent du bus en discutant entre eux. Je pars en courant, aussi vite que mes pieds nus me le permettent. Les petits cailloux me blessent les pieds. J’ai eu le temps d’entendre qu’un train arriverait dans 10 minutes et qu’ils avaient le temps. La gare n’était donc pas si désaffectée que cela. Il fallait que j’atteigne le virage avant que les passagers rentrent sur les quais. J’allais le plus vite possible. J’entends une voix qui dit « T’as vu ? Ya un mec à poil qui détale là-bas », et le second de répondre « Tu devrais changer tes lunettes mon vieux, ton mec est une superbe minette. Et je te l’accorde, elle est bien à poil ». Ils ont éclaté de rire. Rassurée qu’ils n’aient pas l’intention de me rattraper, je retourne à la clairière. Après avoir retraversé à la nage, avant de me rhabiller, je me dis qu’il est encore tôt pour rentrer. N’entendant aucun bruit. Je m’étends sur l’herbe pour bronzer un peu. Rapidement je mets la main entre mes cuisses et me masturbe. Enfin. Je jouis en moins de 3 minutes. Etre nue et risquer d’être surprise augmentent beaucoup l’excitation. Je retourne dans l’eau. Nager nue est super agréable et excitant. J’entends le train arriver. Le bruit est très faible, probablement étouffé par les buissons. Je continue de nager, ...
... heureuse. Je n’ai pas entendu le train repartir. Je devais avoir la tête sous l’eau. Je retourne sur l’autre rive, vers la voie ferrée. Personne, pas un bruit. Je prends comme prétexte de connaitre les horaires du train pour ne plus être surprise, pour m’exhiber un peu. Je le fais avec Hugo, pourquoi pas toute seule. Pour les horaires, je dois retourner à la gare et voir l’affichage. Certaine que le train est reparti sans que je l’entende, je marche en posant les pieds d’une traverse à l’autre pour ne pas avoir mal au pied avec les pierres du ballast. Ma surprise est totale quand je tombe nez à nez avec 2 cheminots. La locomotive est toujours là, arrêtée à 5 mètres de moi, silencieuse. Les cheminots sont à peine à 2 mètres aussi étonnés que moi de la rencontre : ils m’ont vu arriver tranquillement, nue, regardant où je posais les pieds, inconsciente de leur présence. Je veux me mettre à courir, mais je pose le pied entre 2 traverses, et je tombe. Je crie de douleur. Les cheminots se précipitent, me demandant où j’ai mal. Machinalement je déplace mes jambes pour regarder l’endroit blessé, et involontairement je leur montre ma chatte épilée. L’un d’eux m’attrape par le bras pour m’aider à me remettre debout ; il me demande « Vous pouvez vous lever ? » Apeurée, je me débats, il me lâche immédiatement. Je suis assise, face à ces 2 hommes, les cuisses écartées, mes bras appuyés en arrière me soutiennent. Je les regarde dans les yeux sans me préoccuper de ma nudité. Je le supplie de ...