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Quel mal y a-t-il à essayer? Aucun, mais essayer c'est l'...
Datte: 14/07/2022, Catégories: fh, hh, fplusag, jeunes, extracon, école, Oral pénétratio, fsodo, hgode, hsodo, confession, extraconj, Auteur: Margrite, Source: Revebebe
... mensonge, car mon cul en a connu des possessions. Avec le sauna et les visites de Raphaël, je ne compte plus le nombre de fois où on m’a enculée. Depuis notre « pause », j’ai remarqué qu’Éric était encore plus attiré par ce chemin. Chemin plus étroit, surtout si un gode occupe la chatte. Sékou n’est pas dans cette philosophie. Il laisse son dard trouver le chemin. Mes jambes écartées laissent son regard vérifier. Il appuie un peu. Il me regarde ! Un battement de paupières lui donne le feu vert. Il appuie un peu plus, encore un peu. Et puis, comme toujours, le sphincter cède à la pression. Il doit être humide de mes jouissances. Le sourire de Sékou fait plaisir à voir. Je pourrais lui demander si c’est sa première fois. Mais je ne veux pas que… Ohhhh ! La glissade est parfaite. Mon ventre s’ouvre sans grande résistance. Il est surpris que déjà son ventre heurte ma fente. Il me regarde à nouveau. — Oui. C’est bien… Je te sens bien… Continue… Il continue. Très vite il se laisse aller. Il est beau. Jeune, beau, puissant, voilà un homme qui va faire des ravages. Nombreux sont les maris candaulistes qui cherchent des partenaires noirs pour leur épouse. Ce type d’amant est chargé de symbolique encore plus que la recherche de grosses bites. Je le regarde. Il transpire. Des gouttes de sueur coulent sur son torse traçant de délicats sillons qui disparaissent vers son ventre. Il se tient droit, ses mains tirant mes jambes et me possédant uniquement par des coups de ...
... reins. Il est beau. Ma main déclenche une jouissance, une de ces jouissances qui laissent couler assez de liqueur pour irriguer son mandrin. Mais il n’a pas besoin de lubrifiant. Mon cul est un boyau étroit, mais inondé. Il accélère. Je vois à son visage que son plaisir arrive. Il gicle. Il continue de me baiser tout en crachant un foutre qui déborde à chaque retrait. Dieu, que c’est bon ! Il me libère. S’allonge sur moi. Son corps est brûlant. Alors je lui dis ce que tout amant aime entendre : — Merci. C’était très bien. Son sourire fait plaisir à voir. — Je vous avais bien dit… Il aurait bien continué. Mais il ne faut pas exagérer. Ma conscience commençait déjà à me faire des reproches : « Traînée, tu n’as pas honte ? Un gamin… De l’âge de ton fils… Et ne me dis pas que tu étais obligée… Il était déjà dehors que tu… » On se rhabille. Je range les fleurs et les chocolats dans un placard. Je ne peux pas rentrer avec ça, déjà que ma tenue pourrait questionner mon mari. — Merci, je lui dis. — On pourrait se revoir ? — Il faut être raisonnable. Je suis ta Proviseure. Déjà je suis en faute. — Personne ne le saurait. — Moi si ! — Ah ! Moi aussi j’aurais bien aimé. Il est devant la porte. J’attends qu’il parte pour fermer derrière lui. Il veut m’embrasser, mais je refuse. Je passe juste ma main sur son visage dans un geste de tendresse dont je ne sais s’il est celui d’une maîtresse ou d’une femme envers un enfant. Il me saisit la main pour l’embrasser. ...