Quel mal y a-t-il à essayer? Aucun, mais essayer c'est l'...
Datte: 14/07/2022,
Catégories:
fh,
hh,
fplusag,
jeunes,
extracon,
école,
Oral
pénétratio,
fsodo,
hgode,
hsodo,
confession,
extraconj,
Auteur: Margrite, Source: Revebebe
... attendant je le vois guider sa queue vers l’anus de mon mari. Ils sont de profil, mais les jambes me le cachent et de toute façon je suis trop loin pour bien voir. M’approcher plus me ferait sortir de l’obscurité protectrice de l’entrée.
— Ahhhhhhhhhhhhhhh.
Raphaël est entré d’une poussée vigoureuse.
— Dan, donne-lui ta bite à sucer qu’on l’entende pas couiner…
Alors c’est comme un déchaînement. Raphaël défonce le cul de mon homme et je sais par expérience que lorsqu’il est dans cet état, il est particulièrement dur et gros, pendant que Dan lui enfourne tout ce qu’il peut de son mandrin.
Si j’étais inquiète du traitement que subit mon époux, je suis rassurée en voyant qu’il se branle, le dard manifestement bien tendu.
Pendant de longues minutes, le trio se démène. On dirait que chacun attend l’autre. Pourtant Dan dans un cri crache son jus dans la gorge de mon mari. Cela semble être le déclencheur, car bientôt tous les signes montrent que la bite qui laboure son cul se libère aussi. Le foutre qui jaillit de la bite maritale a la puissance du jet de Genève.
Tout le monde se relève.
Je m’éclipse discrètement.
Ainsi nous sommes tous les deux coupables. Chacun a continué son chemin sans l’autre. C’est ce qui m’attriste le plus, ce n’est pas que chacun a d’une certaine façon cocufié l’autre, c’est que nous n’avons pas osé en parler.
Moi d’abord ! Pourquoi ne pas lui avoir dit que ce qu’il avait initié par son candaulisme me manquait.
Et lui ? ...
... Mais peut-être que pour lui se faire prendre par le cul a été une remise en cause de sa masculinité.
À deux, on avait été si fort. Mieux, le sauna et Raphaël avaient renforcé notre attachement et notre amour qui se délitait au fil des années retrouvait la fraîcheur de notre jeunesse.
Que faire ?
En parler bien entendu.
**********
J’attends le week-end. Il fait beau et une longue promenade en forêt m’apporte le courage de parler. En marchant, côte à côte, je lui prends la main.
— Tu sais, mon Chéri, nous n’avons jamais vraiment abordé la vraie raison qui nous a fait arrêter nos rencontres !
— Il n’y a pas grand-chose à dire. J’étais fatigué, c’est tout.
— Mais maintenant nous pourrions envisager de reprendre ? Tu ne crois pas ? Cela ne te manque pas ?
— Un peu et toi ?
Je m’arrête. Nous nous faisons face.
— Prends-moi dans tes bras, tu veux bien ?
Il m’enlace. Je me love contre lui. Nous ne faisons plus qu’un.
— Si je te dis que nos rencontres me manquent beaucoup, tu ne vas pas me prendre pour une nympho ou une excitée ?
Un court silence.
— Je serais bien le plus égoïste et le plus injuste des maris. C’est moi qui t’ai proposé ces jeux. Tu as accepté et ce n’était pas évident. Si on doit blâmer quelqu’un, c’est bien moi avec ce goût de te voir avec d’autres hommes.
— Chéri, j’ai partagé, et ô combien, ce goût. Mais je voudrais te dire une chose… tu veux bien ?
— Chérie, je t’aime. Tu peux tout me dire.
— La dernière fois que Raphaël est ...