1. Hélène (46)


    Datte: 14/07/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: rouge22, Source: Xstory

    ... être exaucé.
    
    On relâche légèrement les liens de mes mains pour me pencher en arrière. On fait tomber les gouttes sur ma poitrine en visant soigneusement mes tétons. Une cire brulante gaine ma poitrine suppliciée.
    
    On me bascule en avant, exposant, mon dos, mes fesses et mes cuisses. Un deuxième cierge est allumé. Elles s’en donnent à cœur joie sur mon cul, mes jambes, et mes reins.
    
    Je brule. Cruella se penche et murmure à mon oreille.
    
    — On va faire sauter la cire avec le martinet, nous allons te nettoyer chacune notre tour.
    
    Elle cingle ma poitrine faisant tomber une plaque de paraffine. Elle tend son instrument à la bourrelle suivante. Cette fois, c’est le derrière de mes cuisses qui prend. Puis une autre fouette mon beau croupion. Les cinglées s’enchaînent, je perds le compte, mon corps n’est plus qu’un incendie.
    
    Le minuteur sonne. Cruella se recule, à regret, et laisse tomber son instrument.
    
    C’est la fin, il était temps, je n’en peux plus. Je ne sens plus la brûlure de mes seins, ni l’étirement de mes bras. La douleur de la flagellation est toujours présente, mais comme lointaine, amortie. Je pends dans mes liens, cramponnée à la barre.
    
    L’assemblée s’est reculée et rassemblée en face de moi. Elle s’écarte et s’ouvre en deux, laissant le passage à mon amour, suivi de Mel. Il s’arrête à un mètre de moi et lui donne sa cravache. Il se rapproche, glisse ses mains derrière ma nuque, et détache les cordons du mors.
    
    Avec sa pochette jaune, il ...
    ... essuie la bave qui a coulé sur mon menton et sur ma poitrine. Il reprend la badine des mains de ma soumise, et pose l’extrémité de cuir sur mes lèvres. J’embrasse l’instrument de mon supplice.
    
    Je ferme les yeux. Je sens qu’il passe derrière moi. J’assure ma prise sur les dragonnes qui brident mes poignets. En un instant, je me rappelle la première fois, quand je me suis donnée à lui.
    
    Je fais le vide, je suis bien, sereine, et pourtant j’ai la chair de poule, je suis secouée d’un tremblement incoercible. Un sifflement, et immédiatement la brûlure qui sabre mes fesses. J’hurle, tétanisée et je retombe dans mes liens.
    
    Je souffle en haletant, je vois l’assemblée se disperser. C’est fini...
    
    C’est fini... Non, j’en veux encore plus. Mon amant va me détacher quand je lui murmure.
    
    — Non, laisse-moi, encule-moi toute attachée...
    
    Il se cale derrière moi, entre mes jambes, il ouvre mes fesses. Doucement, il retire le leurre de mes reins. J’apprécie cette libération, et surtout le petit courant d’air, le temps que je me referme. Mon chéri ne perd pas de temps, il se présente devant mon œillet, et il m’empale. A sec...
    
    Il me pénètre en force, les doigts crochés sur mes hanches. Mon supplice l’a stimulé, Il est énorme, puissant, animal. Il se recule, se retirant complètement. Il me prend à nouveau, puis décule pour la deuxième fois, laissant mon anus se refermer à chaque retrait. Sans faiblir, il m’encule. J’adore cette sensation de dilatation de ma rosette. Je suis ...