1. Thomas et son père (8)


    Datte: 11/07/2022, Catégories: Gay Auteur: yphos, Source: Xstory

    ... beau-frère, ce coquin !
    
    Je suis un peu déçu de leur retour, j’étais bien avec Lydie. Cette dernière est un peu renfrognée envers son mari, mais lui semble ne pas y attacher d’importance.
    
    Petit à petit, l’atmosphère se détend et nous finissons par passer à table en riant.
    
    Je suis assis près de Lydie, face à Philippe alors que mon père est assis à côté de lui. Je remarque que mon oncle garde curieusement une main sous la table. Je fais négligemment glisser ma serviette au sol et me penche pour la ramasser. Je vois que tonton a sa main sur la cuisse de papa et la caresse délicatement.
    
    Avant de ramasser ma serviette, j’effleure l’intérieur du mollet de ma voisine. Lydie resserre brièvement les pieds et m’emprisonne la main avant de la libérer. Elle a agi par réflexe, mais n’a pas protesté pour mon inconvenance. En me réinstallant, je glisse légèrement ma chaise pour être un peu plus près d’elle.
    
    A chaque fois que je repose la serviette sur ma jambe, j’effleure du bout du doigt le haut de sa cuisse. Elle ne me repousse pas et ça m’encourage à poursuivre ses caresses furtives. À un moment, elle se lève et revient de la cuisine avec un plat qu’elle pose sur la table. J’ai alors un panorama fantastique sur son décolleté, je réprime la pulsion de glisser ma main sur sa poitrine. Toutefois, quand elle reprend place, c’est elle qui s’est rapprochée de moi au point que nos jambes sont désormais en contact franc.
    
    Mes caresses sur sa cuisse sont plus faciles, je sens ...
    ... ses doigts rejoindre les miens sous la table. Je suis terriblement excité par la situation, je bande à fond de vivre enfin ce phantasme, car je me suis souvent branlé en pensant à elle.
    
    Nous sommes en fait deux duos à respirer rapidement. Papa est rouge de confusion et la main baladeuse de Philippe n’y est pas étrangère. Lydie finit par me lâcher la main et nous continuons le repas avec plus de convenance et contenance.
    
    Pour desservir, je me porte évidemment volontaire pour aider la maîtresse de maison. Dans la cuisine, elle pose les assiettes sur un meuble et attend, en me tournant le dos. Je m’approche, écarte sa chevelure, lui tiens les épaules, puis me colle à elle pour lui mordiller la nuque. Elle geint et tremble sur ses jambes quand je m’attaque au creux de son cou. Je me serre un peu plus contre elle en la tenant par les hanches.
    
    Mon érection repart de plus belle et elle ne peut l’ignorer. Elle ne le souhaite pas d’ailleurs, car maintenant, c’est elle qui vient à ma rencontre, ses fesses roulant de gauche à droite sur mon sexe.
    
    J’imprime de délicats basculements du bassin et elle gémit de plus en plus en se cambrant davantage. Elle écarte même un peu les jambes quand je tente d’y glisser la main.
    
    Comme je regrette qu’elle soit en pantalon et non en jupe, j’aurais pu facilement accéder à son intimité !
    
    De trois doigts à plat, j’appuie sur sa chatte. Elle se redresse sur la pointe des pieds et tremble de tout son corps quand je lui presse la vulve par ...
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