Les soeurs Ukazovà, complices sexuelles (7)
Datte: 10/07/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: megalosex, Source: Xstory
... tandis que Jana couine sans retenue.
Le calme revient. Nous voyons maintenant Éva occupée à sucer la belle bite du neveu. Je suis toujours dans le dos de Jana, collé contre elle, ma bite encore entre ses fesses. Mes mains tripotent nerveusement ses beaux seins laiteux. Je ne sais pas pourquoi, mais je lance au jeune homme :
— Encule-la aussi ! Elle adore se faire prendre par le derrière !
Ludvik, tout excité, renchérit :
— Oh ! Oui ! Encule Éva ! Chacun la sienne !
Le jeune homme se retrouve presque nu, tandis qu’Éva, comme si elle n’attendait que ça, se place en levrette. Pressé de l’enculer, il ne prend pas trop de précautions et passe un peu en force, la faisant protester. Mais il est tellement excité qu’en moins de deux minutes, il largue son sperme dans les entrailles d’Éva qui crie de plaisir, à moins qu’elle ne le simule.
Maintenant, nous voici tous les six debout. Petra s’approche de Jana :
— Elle a bien joui, ma jolie nièce ?
Et devant Ludvik étonné, elle l’embrasse, avec, en prime, une belle langue fourrée.
C’est Éva qui revient à la réalité :
— Au fait, quelle heure est-il avec ça ? Il ne faudrait pas être en retard, tout de même !
Un coup d’œil à ma montre :
— 11 h 45. Juste de quoi rentrer à l’heure. Et il faudrait se débarbouiller un peu, aussi. On ne peut pas rentrer comme ça.
Ludvik nous entraîne vers les toilettes. Dans un angle de la petite pièce, un bricoleur anonyme a installé un semblant de douche : un réservoir ...
... cylindrique avec une pomme munie d’un robinet au- dessous. Nous y allons deux par deux pour juste se mouiller le corps et s’essuyer avec des chiffons à peu près propres. Le temps de se rhabiller en vitesse et nous voilà dans la voiture, prêts à partir. Alors que le moteur tourne, Ludvik tend une carte de visite à Jana, qui est assise à l’avant. Sourire de cette dernière :
— Eh bien, tout le monde veut nous revoir, on dirait.
Quand nous nous garons devant la maison, il est pile 12 h 30. Nous pensons être attendus impatiemment, mais quand nous entrons dans le séjour du rez-de-chaussée, la table, dressée, est encore inoccupée. Et ce n’est qu’une bonne dizaine de minutes plus tard, que nous débutons le repas.
Après le déjeuner, tout le monde se retrouve au jardin de la maison, dans un endroit ombragé. Nous y passons là près de deux heures, à discuter de tout et de rien et bien sûr du voyage de deux jours qui nous attend demain. Puis, vers 15 h 30, la tante nous annonce son départ. Sans surprise, l’ayant annoncé le matin même. Les deux sœurs et moi l’accompagnons jusqu’à la voiture, garée un peu en retrait de la maison, pour bénéficier de l’ombre. Les parents, eux, achèvent les préparatifs du voyage. La tante ne semble pas pressée de partir :
— Hum ! En arrivant ici, je ne pensais pas que vous alliez m’offrir de tels moments.
Jana la regarde par en dessous :
— On doit comprendre que tu en veux encore ? Après hier ? Après ce matin ?
Petra sourit :
— Je dois dire ...