Ma femme est peut-être forte mais c'est une bombe (8)
Datte: 08/07/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: caribonex, Source: Xstory
... m’attirer. Je me rapproche alors d’elle ou plutôt d’elles, et comme elle m’indique d’un sourire Sophie, j’embrasse celle-ci.
Sa langue est bien plus nerveuse que celle de Zoé, virevoltante dans son attitude et dans sa façon d’embrasser. Je sens aussi le souffle chaud de ma complice dans mon cou et ses mains qui me caressent le dos pendant qu’on s’embrasse. La petite poitrine de Sophie s’écrase sur mon torse et ses mains me tirent vers elle comme si elle voulait s’imbriquer en moi.
Nous reprenons haleine et ensemble attirons. Zoé vers nous pour échanger un baiser à trois, langues sorties qui se mêlent, lèvres qui se touchent, se heurtent dans une certaine frénésie sensuelle.
C’est intense, pervers et surtout diablement excitant.
On se recule, un peu hors d’haleine, des gouttes de salive perlant aux commissures des lèvres témoignent de notre excitation. Tout comme les pointes de seins extraordinairement tendues de Sophie. Grosses comme la dernière phalange de mon pouce, brunes et gorgées de sang, hmm.
Me voyant les regarder, elle sourit et dit : - Compensation de la nature pour mes petits seins, ils sont ultrasensibles, ça te plaît ?
— Et comment ! Le contraste est excitant.
Zoé rajoute son grain de sel :
— Oh oui, ça le fait triquer mon mec hein ?
Je repousse tendrement Sophie en arrière, sa poitrine sort de l’eau et Zoé et moi suçons, mordillons, dégustons, taquinons, léchons, excitons chacun un téton, générant des gémissements de plaisir de ...
... Sophie.
Tacitement, nous voulons lui donner du plaisir tout en nous faisant plaisir. Entre deux attaques câlines sur ses seins, chacun va plus ou moins régulièrement l’embrasser, se rencontrant parfois dans un baiser à trois pendant que nos doigts continuent à agacer ses tétons.
Elle n’a pas menti sur la sensibilité des grosses framboises qui ornent ses seins, car des gémissements, des petits cris surviennent de plus en plus souvent, devenant comme un ronronnement continu. Je ne sais pas pourquoi ma chérie, mais moi, cela m’excite au plus haut point !
Les doigts de Sophie et les miens s’entremêlent sur le ventre de Sophie et glissent ensemble vers le bas, effleurent une fine toison et atteignent la fourche de son plaisir. Elle est trempée et ce n’est pas de l’eau, même si nous y sommes pourtant immergés. Zoé et moi taquinons de nos doigts le clitoris gonflé, les lèvres humides et la chaude grotte de son plaisir.
Sophie n’est quasiment plus qu’un feulement continu, mâtiné de quelques " oh c’est bon, branlez-moi, branlez-moi, plus fort..." encouragements que nous prenons au pied de la lettre...
Ses soubresauts de plus en plus forts montrent qu’elle est proche du point de non-retour et nous accentuons encore nos gestes. C’est si bon de lui, de nous faire plaisir, mon sexe est tendu contre sa cuisse fine et mes oreilles remplies des sons de son plaisir.
Enfin, elle crie son plaisir avec une voix rauque qui contraste avec son physique mince. Elle se tord, bouge, bouche ...