Les Vices de Nicolas (2)
Datte: 07/07/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Max Rosa, Source: Xstory
... jusqu’au bas de ses mollets tandis que ses longs cheveux bruns arrivaient de chaque côté de son manteau largement en dessous de sa poitrine. Étant sur le point de fermer, je lui ai donc exposé la situation :
— Bonsoir, je suis désolée, mais le studio est sur le point de fermer, je vais vous demander de repasser demain si vous le voulez bien.
— Vous êtes bien Nicolas ?
— Oui... c’est bien moi, mais... comment connaissez-vous mon prénom ?
— Ne vous inquiéter pas ça ne sera pas long. Je suis gérante d’une grande galerie photo parisienne et j’apprécie beaucoup votre travail, je voulais donc savoir si vous seriez disponible pour que nous en discutions un peu plus en détail ce soir, pour débuter une éventuelle... collaboration.
— Euh... vous me prenez au dépourvu... la situation est un peu inhabituelle et je ne vous connais pas, mais... je n’ai rien de prévu ce soir donc pourquoi pas en discuter oui. Où sont situés vos bureaux ?
Elle se mit à esquisser un sourire espiègle tout en riant légèrement et répondit :
— Je préfère discuter de mes nouvelles collaborations chez moi, cela instaure une relation de confiance bien plus forte, je vais vous donner l’adresse et vous n’avez qu’à me rejoindre à 22 h.
— 22 h, ce n’est pas vraiment une heure qui met en confiance et je ne vous connais pas...
— Comme vous le voulez, mais ça serait fort dommage pour vous de rater cette occasion et elle ne se représentera pas.
— Bien merci, je vais y réfléchir.
Après ...
... m’avoir donné son adresse, elle fit un dernier sourire et repartit sans rien dire en longeant le trottoir sur lequel les talons de ses escarpins claquaient. J’étais de nouveau perplexe, cette situation était très étrange et j’avais de sérieux doutes sur la véracité de ses propos. Sa veste et ses escarpins très élégants me faisaient penser sans trop d’hésitations qu’elle était issue du milieu bourgeois, son profil correspondait donc bien à celui d’une gérante de galerie. Mais pourquoi venir seule sans rien sur elle ? Pourquoi avait elle était aussi évasive ? Et surtout pourquoi me demander de venir aussi tard ? Il n’y avait pour moi qu’une seule façon de le savoir...
Il était un peu moins de 22 h quand je suis arrivé devant chez elle, elle habitait au dernier étage d’un immeuble haussmannien à deux pas des Champs-Élysées. Après avoir hésité quelques minutes sur le palier, je me mis à toquer à la porte. Le stress montait en moi en entendant le son de ses escarpins qui se rapprochaient de plus en plus, et quand elle ouvrit la porte, je fis un pas en arrière et détournai rapidement mon regard. Elle était nue sous son manteau en fourrure ouverte qui dévoilait son exubérante et mature poitrine qui s’approchait d’un 95 F, ainsi que sa chatte aux lèvres tombantes, entourée d’une touffe de poils et dont un cordon noir pendouillait. Toujours en détournant le regard et d’une voix gênée, je lui dis :
— Je suis désolé, je ne voulais pas vous déranger... je ne savais pas que... je n’aurais ...